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Un épisode à pile ou face pour Alphas avec d'un côté une mythologie particulièrement intéressante et de l'autre, un quintet de héros sous-exploité. Au programme, un alpha qui joue avec le hasard, le docteur Rosen face à son passé et Bill qui s'amuse à porter des distributeurs de boissons.

Le créateur et showrunner principal de la série quitte le navire : la série prend t-elle l'eau ?

Episode qui confirme le virage du show de l'espionnage à l'hommage bête pour les action movie. Au programme, Annie fait de l'escalade, Joan ne sert presque à rien et Ben n'est plus que l'ombre de lui-même.

Episode assez moyen, la faute à une mission du jour qui ne parvient pas vraiment à décoller. Au programme, Jones dans la Marine, Peter dans le van et Caffrey dans le doute.

A l’annonce de la venue en guest de Chistopher Loyd (Retour vers le futur, est ce utile de le rappeler ?), cet épisode de Fringe était attendu avec impatience pour retrouver notre bon vieux doc. L’acteur n’est pas du tout utilisé dans le registre savant foldingue, Walt étant déjà là pour ça, mais pour un personnage plus sérieux et dramatique. Alors reconversion réussie ?

Bel épisode, de loin le meilleur de la saison grâce aux révélations tragiques de Regina, qui modifie le show en profondeur en créant une cassure profonde impossible à combler. Au programme, Daphne cherche à provoquer Regina, les Kennish apprenne la vérité pour un final entre confession et colère.

Comme vous aviez pu le constater, l'épisode de la semaine dernière ne m'avait pas vraiment convaincu. Pour celui de cette semaine, que j'ai envie de rebaptiser « il était une fois à Albuquerque », la donne change et le monde de Breaking Bad commence à se diviser en deux catégories...

Episode très inégal, la faute à une histoire de gueule de bois sans grand intérêt qui nuit à celle plus intéressante d'Artie. Au programme, des corps transformés en glaise, Pete et Myka ont la gueule de bois pendant que Steve disparaît du paysage, petit à petit.

C’est parti <b>True Blood</b> est dans la place ! L’épisode <b>Me And The Devil</b> sent bon le top départ pour accélérer les choses. Les intrigues s’enchaînent et le plaisir du second degré revient.

Petite critique centrée comme l'épisode sur le personnage fascinant d'Harvey Specter. Au programme, un homme qui se donne l'apparence d'un super-héros mais qui redéfinit la notion de bien et de mal.