Glee
Professeur d'espagnol au sein du lycée McKinley, Will Schuester décide de prendre la direction du club de chant de son établissement, laissé bien mal en point par son prédécesseur. Ravivant dans le même temps ses aspirations de jeunesse et la jalousie de sa femme, Will va déployer tout son enthousiasme afin de ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Comédie musicale, Comedy, Drama, Musical | Fox, M6 | 2009 |
6 avis favorable
1 avis neutre
3 avis défavorable
Avis sur l'épisode 1.05
Avis favorable | Déposé le 06 juin 2011 à 20:32 |
Mis à part un superbe final avec "Somebody To Love", cet épisode est moyen à mes yeux. Le personnage d'April Rhodes ne me plaît pas du tout: je trouve qu'elle fait n'importe quoi et qu'elle n'apporte strictement rien à la série, si ce n'est une ou deux petites scènes rigolotes (dont on pourrait se passer). Cependant, cet épisode comporte de bons moments, notamment le moment où Finn et Rachel sont au bowling. Sinon, je trouve qu'il s'agit d'un épisode correct dans son ensemble, malgré les scènes lourdes avec April! |
Avis défavorable | Déposé le 30 mars 2011 à 22:13 |
J'aime bien la rouquine mais son côté mère conscience va vite être gonflant tout comme le côté père samaritain du chef de chorale. Sinon l'épisode en lui même est sans intérêt même les playback étaient mal fait. En plus ils ont re-tué Freddie Mercury ! |
Je tremble en pleurant, recroquevillé sur mon lit.... une foi le choc post-traumatique dissipé je peux tenter de décortiquer un peu plus ce qui me fut infligé avec ce nouvel épisode.
En fait je crois comprendre ce qui ne va pas avec Glee... à essayer de tout faire, ils ne font rien.
Je m'explique. Glee est supposée être une série comique (nous dit-on) qui joue des archétypes (que nous ne sommes donc pas sensés prendre au sérieux) pour provoquer le rire.
Bien, admettons. Malheureusement, tout les personnages de la série (et pour le coup il n'y en a pas un seul qui ne soit pas un monstre de cliché) tentent de s'embarrasser d'une pseudo-profondeur psychologique ou sociale supposée les rendre attachant/énervant/pitoyables etc. et bam là ça ne marche pas.
C'est à dire qu'ils ne poussent pas la logique de l'archétype jusqu'au bout, qu'ils n'osent pas, en effet ils tentent d'enrober leurs personnages d'un nuage de cohérence et de sérieux pour faire s'émouvoir dans les chaumières et pour pouvoir dire "non notre série n'est pas que débile et rigolote, on traite une vrai histoire avec une vrai dramaturgie et des vrai personnages creusés, avec leurs chagrins et leurs joies". Au final à vouloir à la foi faire rire, et la foi faire pleurer le spectateur les réalisateurs arrivent à rendre l'ensemble ni drôle, ni émouvants. A vouloir faire les deux, ils ne font rien, encore une foi je le répète.
L'histoire de cet épisode (comme celle de tout les précédents cela dit) est d'une banalité triste ne pouvant intéresser qu'une midinette adolescente. Je vous le résume ainsi :
"Un lycée américain typique. A. est le beau gosse du bahu qui sort avec B. la reine des pompomgirls. C. est une looseuse mais mignonne amoureuse de A. et cela tombe bien car A. est amoureux secrètement de C.. Malheureusement pour C. cela ne peut pas se concrétiser car A. reste accroché à B. depuis qu'elle lui a annoncée qu'est enceinte soit disant de lui. Alors qu'en fait elle est enceinte de D qui est le meilleur ami de A."
Whouaaaaaaaaaw qu'elle pertinence, quel niveau d'intrigue abyssal!!!! De quoi nous noyer sous les enjeux... tellement risqué, tellement novateur... et surtout tellement pas du tout fait par Dallas et les Feux de l'Amour... voilà c'est ça, je pointe là du doigt la nature de glee... c'est un recyclage des mauvais soap de nos parents à la sauce teenage.
Cette définition pourrait convenir si il n'y avait pas de plus les morceaux... Ahahah parlons en... des morceaux.
Oui, car ces chansons... mon dieu... mais pourquoi.... pourquoi... quel est l'intérêt? Je croyais que ceux qui avaient envie de voir des poufs et des playboys formatés danser du modern-jazz soupe sur de la variété terne avec des jeux de lumières à tout va et du maquillage à plus savoir qu'en foutre regardaient la Star Académie ou La Nouvelle Star... mais non... ça leur suffisait pas? Il a fallu qu'ils fassent une série télé en plus?
Déjà que je déteste ce genre d'émissions musicales de télé réalité... là ils ont réussis à faire la même chose avec le "réalité" en moins... et en plus ça marche, hallucinant.
Pour cet épisode, spéciale dédicace à April, qui remporte le prix du personnage féminin rabaissant le plus la gente féminine de toutes les séries de l'année 2009 ainsi que pour le prix du second rôle féminin le plus bourré de botox de l'histoire de l'humanité.
Avec elle ils ont voulu mettre une pointe d'humour à la "My Name Is Earl" dans l'épisode... inutile de dire que ça tombe à plat, la preuve est une foi de plus faites qu'à vouloir mélanger tout les genres, Glee s'englue.