Glee
Professeur d'espagnol au sein du lycée McKinley, Will Schuester décide de prendre la direction du club de chant de son établissement, laissé bien mal en point par son prédécesseur. Ravivant dans le même temps ses aspirations de jeunesse et la jalousie de sa femme, Will va déployer tout son enthousiasme afin de ...
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Terminée | Américaine | 45 minutes |
Comédie musicale, Comedy, Drama, Musical | Fox, M6 | 2009 |
6 avis favorable
1 avis neutre
3 avis défavorable
Avis sur l'épisode 1.09
Avis favorable | Déposé le 06 juin 2011 à 20:53 |
J'aime beaucoup cet épisode. Les chansons de l'épisode sont excellentes, l'intrigue est sympa et divertissante à suivre. Dans l'ensemble, un épisode très sympa! |
Avis défavorable | Déposé le 06 avril 2011 à 23:05 |
Le côté funcky de cette série n'est pas assez exploité. Tout ce qui pourrais être drôle et rafraichissant est servie avec une morale a deux balles made in US |
Avis défavorable | Déposé le 06 avril 2011 à 22:58 |
Je m'attendais à un être truc super drôle avec Sue et la petite trisomique, et là pan une morale cul-cul à l'méricaine. Bref y'a toujours autant de défauts à cette série qui dans certains moments peut être drôle mais qui ne joue pas ce côté à fond et c'est bien dommage car ça pourrait être fun, mais du coup c'est un peu merdique. |
Avis favorable | Déposé le 20 février 2011 à 23:57 |
Quand Sue joue sur la corde sensible de suite ca capte notre attention. C'était tellement bien amené qu'on se dit que Glee n'est pas qu'une série musicale. |
Avis favorable | Déposé le 27 janvier 2011 à 19:48 |
C'est pas mal du tout. Plus d'émotion et moins d'histoires barbantes. Et personne ne veut mettre en danger le Glee Club ou le quitter pour une fois!!! |
Avis favorable | Déposé le 30 août 2010 à 14:51 |
Épisode intéressant dans le sens où on s'attarde enfin sur le problème de la chaise roulante et qui dénonce ainsi la mauvaise structure du lycée pour accueillir les handicapés moteurs (et qui doit vraiment pas être loin de la réalité). J'ai bien aimé la première et dernière chanson ainsi que l'on découvre un peu plus la vie de Sue. Un autre bon point, les absences de la femme du professeur de chant, ainsi que de ses deux collègues (la rousse et Ken machin) qui plombent un peu la série. Par contre je déteste le personnage de Quinn, qui en fait voir de toutes les couleurs au faux père alors que le vrai attend que ça de l'aider... |
Je rejoins Fafa sur son avis. C'est à dire que j'avais l'impression que ça aurait pu... et puis non. Le problème c'est que pour faire passer un message ils manquent cruellement de subtilité. Pour faire apprendre l'empathie envers les handicapés : il faut que tout le monde soit dans un fauteuil roulant. Si la coach accepte d'enroler une enfant déficiente mentalement c'est parce que sa soeur et dans ce même cas. Pour que Artie et l'asiat se rapproche, il faut inventer un handicape à l'asiat qui puisse faire le lien (j'avais jamais remarqué qu'elle begayait avant cet épisode d'ailleurs). Pour que Quinn sache quel mec choisir, c'est celui qui rapporte le plus de thunes.
Bref tout est concrêt, matériel, montré directement. Ils ne laissent aucune place à la subtilité. Quand à la morale qui se dégage du truc. Après "la drogue c'est mal", on a le droit aux "les handicapés sont des personnes comme les autres"...
Certes ok, c'est vrai, c'est bien faut pas être méchant avec les handicapés... mais en quoi y a t'il la moindre once d'enjeux à en traiter comme thème principal d'un épisode de série sans par ailleurs subtilités ou originalité dans le traitement du sujet?
De même dans cet épisode revient un truc qui me chiffone dans toute la série globalement c'est cette espèce de pensée optimiste nauséabonde à la self made men américain selon laquelle quand on veut quelque chose tout devient possible... Je trouve que ce genre de morale distillée à longueur de temps par une tripotée de programmes un peu partout dans le monde peut avoir des effets dévastateurs, conduisant à la longue à nier l'existence de problèmes et de difficultés réelles pour se complaire dans son succès quand on a déjà réussis ou à se complaire dans l'individualisme libéral si on a pas encore réussis... jusqu'à le faire ou bien se casser la gueule.
Dans Glee, quand la chorale décide d'improviser une chanson, ils sont tout de suite impécablement maquillés avec une petite brise dans les cheveux, les jeux de lumières sont parfait et dignes d'un concert à l'olympia. Dans Glee quand on veut louer un car équipé pour le transport d'handicapé on y parvient, dans Glee il suffit de prononcer le mot tolérance pour que tout le monde le devienne....
Bref je continue d'avancer dans ma série et tant pis si on me dit encore que je suis de mauvaise foi, je dis ce que je ressens.