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Game of Thrones poursuit sa très longue introduction. La semaine dernière elle avait approfondi ses personnages, c’est maintenant au tour du backround historique.

Awesome et Ellie sont chargés d’organiser l’enterrement de vie de garçon / de fille de Chuck et Sarah. Néanmoins, les choses ne vont pas se passer comme elles le devaient…

Episode moyen malgré un fugitif séducteur et charismatique assez original interprété par le formidable Richard Burgi. Au programme, de la frustration érotique, une mauvaise utilisation du trio de détenus et un final comme un aveu d'impuissance.

Toujours aussi ambitieuse, la série commence à mettre tous les personnages en mouvement, et en introduit de nouveaux. Au programme, des services publics qui essaient de redémarrer, un portrait de Delmond Lambreaux, et un récit foisonnant, généreux, mais qui commence à s'éparpiller.

Plusieurs mois ont passé et la Nouvelle-Orléans a beaucoup changé, commençant lentement à se reconstruire. Un épisode de reprise complexe, touffu mais surtout agréable et bien rythmé, tissant de nouvelles storylines prometteuses. Au programme, une ville qui renaît petit à petit, Nelson Hidalgo, un personnage prometteur et la violence qui s'accentue.

The Last Sam Weiss nous précipite encore plus vers une fin intense et surprenante. <b>Fringe</b> nous offre un avant dernier épisode que l’on espérait à ce stade de la série, rien que ce point confirme que la série est une belle révélation cette année.

Après 15 jours d’interruptions et un épisode musical qui aura partagé l’opinion, <b>Grey’s Anatomy</b> est de retour cette semaine dans un format plus standard mais avec une qualité toujours présente.

Episode de transition surprenant et très captivant. Les auteurs mettent les derniers éléments en place pour un final qui s'annonce ambitieux et prometteur. Au programme, complot et manipulation, Juan Borgia trouve enfin sa place et un sens de l'esthétisme remarquable.

Pour clore l'aventure Police Squad, les ZAZ proposent un épisode assez standard mais qui possède encore quelques éclairs de génie comique. Au programme, un Leslie Nielsen déchaîné, une séquence à la morgue culte et l'adieu à un objet télévisuel non identifié.

Le temps des présentations s'achève par un petit tour du côté des prédateurs qui commencent déjà à s’entredéchirer. Au programme, une mise en scène avant-gardiste, deux portraits de vilains et un rêve qui donne une nouvelle dimension à la série.