Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 7.00
Avis favorable | Déposé le 31 décembre 2013 à 10:41 |
Pas facile à noter cet épisode. Il y a deux manières de le voir, soit avec la raison soit sur l'émotion. Dans le premier cas, difficile de passer outre les raccourcis faciles, les personnages qui débarquent de nulle part mais que l'on doit apprécier comme de vieux amis et le fan service imposé (encore une réunion des ennemis du Docteur ?) Cependant, c'est aussi la dernière de Matt Smith et il a été impérial, avec des dialogues excellents et une scène de régénération (enfin deux) mémorable. ça l'a fait pour moi, maintenant j'attendrai autre chose de la saison 8. |
Avis neutre | Déposé le 27 décembre 2013 à 16:36 |
Final relativement décevant. Moffat donne ici des réponses à 3 ans d'intrigues et, même si je soupçonne qu'il ait été pris de cours par la décision de Matt Smith de quitter la série, ces réponses sont données avec la même subtilité que l'on retrouve dans un épisode de Teen Wolf. C'est satisfaisant mais on sent que c'est bancal et qu'il ne faut surtout pas s'amuser à gigoter le tout sinon patatra. Ce qui m'a, je pense, le plus gêné, ce sont encore une fois les ellipses. Tout se passe entre les scènes, et encore plus ici où les scènes de Matt Smith sont très longues et un poil chiantes. Du jour au lendemain, le docteur sait que les silences sont des prêtres et non plus ses ennemis, on a une nana qui sort d'on ne sait où et qui connait vraiment bien le docteur et le docteur se trimballe avec des pièces détachées de tous ses ennemis. Et il faut qu'on avale tout ça, comme si c'était là depuis mathusalem. Pour le coup, ça devient vraiment gênant. Pour le reste, c'est du "Moffat pour les nuls", financé par le ministère du tri sélectif. On a un gros rassemblement d'ennemis qui ne servent à rien comme dans Pandorica, on nous donne une copie mâle de The Girl Who Waited, des rebondissements plus hallucinants les uns que les autres et une belle brochette d'idées sacrifiées sur l'autel du spectacle (non, franchement, à part faire plaisir à Jenna Coleman, pourquoi le délire avec la nudité ?) Nope, un final sans gloire pour Matt Smith, qui parvient je justesse à rattraper 3 ans de délire de Moffat. A voir ce que donnera la suite. |
Avis défavorable | Déposé le 27 décembre 2013 à 01:29 |
Je suppose que l'introduction devait être intéressante ou drôle... Le coup de la nudité et de la dinde m'a bien fait rire ! Et n'oublions pas la perruque ! Le vaisseau religieux et la grosse tête : effets speciaux horribles ! Tasha : en un épisode plus intéressante que Clara ! Le retour de la fissure et on a l'explication pour le Silence ! Clara avait résisté car elle était spéciale mais Tasha qui peut résister aux daleks... Grosse diférence entre Trenzalore du 7x13 où tout la planète était détruite et là un simple village... J'ai jamais compris tout le foin à propos du nom du docteur, ça ne m'intéressait pas et avec toutes les idées ridicules pour ne pas le dire ça m'énerve ! Dites son nom ou sinon passez à autre chose ! La faille gallifréenne s'ouvre seulement à la fin pour aider le docteur... Les daleks ont repérés le docteur mais ne tirent pas avant qu'il ait fini son monologue... Le docteur transformé en super guerrier... Et en plus je n'arrive toujours pas à comprendre comment Gallifrey a perdu avec des Seigneurs du Temps et des Tardis à disposition... Dommage qu'on ait pas vu River en même temps qu'Amy. Bilan : épisode vraiment moyen, Matt Smith est au même niveau que la Clara invisible, à part le lien entre les failles et le Silence, le jour du docteur était plus intéressant ! J'ai plein de questions et je sais pas à qui demander : Clara a de la famille ? Pourquoi les anges sont coincés sous la neige ? Si le docteur est nu où avait-il mis le sceau du maître ? Comment le docteur a arrêté les anges ? Pourquoi les aliens ne s'entretuent pas ? Le Silence est si puissant qu'il empêche les autres d'attaquer en masse durant 300 ans ? Tasha vient de créer l'ordre du Silence mais elle avait déjà les aliens in black ? Est-ce que la ville est coincée dans un paradoxe ? Sinon comment font-ils pour cultiver et bouffer ? |
Avis favorable | Déposé le 26 décembre 2013 à 14:33 |
C'est la fin de l'histoire du Onzième. Mais avant de passer au Douzième, il reste une heure au compteur, c'est le temps de revenir sur la vie du vieil homme : c'est le temps du Docteur. 60 minutes de pur bonheur. Je détaille mon avis dans la critique. Mais avec le temps, mon regard sur l'épisode a légèrement été transformé, mais ni en bien ni en mal. Certains aspects que je lui reprochais dans ma critique ont un peu disparu. Notamment Clara que j'apprécie beaucoup plus. C'est évidemment surtout dû à la saison suivante où son personnage s'est développé pour être la compagne que l'on connait aujourd'hui. Mais je trouve quand même dans cet épisode une Clara plus intéressante que celle de la majorité des épisodes de la saison 7B, parce que Smith et Coleman ont une superbe alchimie et que l'on sent le lien entre les deux personnages. J'ai appris également que la BBC a refusé de faire un spécial plus long et même 15 minutes en plus demandées par Moffat ne sont pas passées, et c'est dommage, car du coup on a le sentiment de regarder l'épilogue d'une ère en passant peu de temps sur le passage du temps du village, justement. Mais ce qui est beau, c'est que The Time of the Doctor est à prendre comme un conte plutôt qu'une vraie aventure. Chaque nouvelle scène sonne tellement comme un contrat de représenter quelque chose pour son ère, que ce soit répondre à un arc des saisons précédentes ou faire intervenir Matt Smith dans un de ses domaines, que du coup toutes les autres scènes sont consacrées au contrat émotionnel. L'avancée du scénario de la planète est du coup relégué à quelques passages avec Tasha Lem où forcément tout doit fuser en deux répliques top chrono. On a à peine le temps de reprendre son souffle que Ding Dong, notre Docteur se régénère. Mais quelle belle révérence ! Alors l'épisode arrive quand même extrêmement bien à faire honneur à son Docteur et à son ère, par de multiples représentations ingénieuses (l'aspect guerrier, l'aspect "magicien faisant rêver les enfants" à travers les dessins, etc.). Et l'épisode réalise également le tour de force de donner une cohérence à l'arc du Onzième (les failles, le Silence, les Time Lords, la mention de River, l'explosion du TARDIS), ce qui est une véritable prouesse. La réutilisation des Silences est vraiment le coup de génie de l'épisode. L'épisode réunit en plus tous les aspects épiques d'une fin d'aventure, à celui féérique de Noël, une ambiance qui a caractérisé l'ère de Matt Smith. Le climax et la régénération finale sont parfaits, ni plus ni moins, et il s'agit de loin de la régénération qui me touche le plus, parce qu'elle est optimiste, mélancolique, ni trop rapide, ni trop étirée. C'est juste une invitation sereine et mature à embrasser toutes les personnes que nous sommes et que nous serons.
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Avis favorable | Déposé le 26 décembre 2013 à 10:12 |
Encore un épisode que j'ai adoré, peut être pas autant que l'épisode des cinquantes ans de la série mais presque autant. Je vais commencer d'abord par les défauts: tout d'abord je n'aime pas clara et je ne ressent encore rien pour son personnage comme je l'avais ressenti pour les compagnons (rory et amy, mes préféré de toute la série). J'ai peur que cela continue même pendant toute l'ère capaldi et qu'élle gache cette saison qui s'annonce géniale. Je n'ai aussi pas compris comment le docteur aurait pu menti sur le fait d'avoir un plan alors qu'il se trouvait dans un champ de vérité. Sinon à part ces deux éléments qui m'on géné, l'épisode est parfait et mérite bien son 17 j'ai en effet adoré les differents monstres de la série qui apparaissent en mode fan boy dans l'épisode au lieu de prendre une tros longue partie. J'ai aussi aimé que moffat ait peut pratiquement tout expliqué dans cet épisode et qu'il le souligue avec smith qui fait tomber sn noeu de papillon pour ainsi dire an anglais "that he tied every loose ends". Le personnage de la pretresse est aussi un bon remplacement pour river song même si on aurait eut envi qu'elle soit présente. Les dix dernières minutes de l'épisode sont juste parfaite avec moffat qui nous explique encore que le nom du docteur n'est pas important à connaître ou avec l'épisode qui marche très bien après l'épisode des cinquante ans avec la découverte de l'existence des time lords. Pour une fois la solution pour que le docteur survive est simple et non compliqué. Mais j'ai surtout adoré la performance de smith qui bat l'épisode de la régénération de tennant à pleine couture en n'en faisant pas des tonnes. Pour une fois, il regarde son avenir avec apprehension. Le cameo d'amy est juste parfait et fait ainsi oublier la présence de clara. Cette régénération est à la fois touchante et drole. Je suis même déja amoureux du docteur de capaldi et donc cette huitième saison n'aurait pas pu se présenter sous de meilleures hospices. Graçe à ces trois ou quatres(si on compte the night of the doctor comme un épisode) derniers épisodes, je suis redevenu un vrai fan de la série et je pardonne enfin le tempérament assez enfantin de ce onzième (ou treizième) docteur. L DW! |
Avis favorable | Déposé le 26 décembre 2013 à 03:45 |
C'est noël, et j'ai envie de me réconcilier avec Moffy. On s'est aimé (en saison 5), on a douté (en saison 6), on s'est fâché (en saison 7a), on a tenté de nouvelles expériences ensemble pour ranimer la flamme (en saison 7b), on a fait une courte trêve (pour les 50 ans) et maintenant, il est temps de tout oublier, de tout pardonner. Car Moffy avoue tout dans cet épisode. Il s'est longtemps fait passer pour un showrunner. Mais la lumière s'est enfin faite durant ce grand final. Moffy n'est qu'un gros fanboy. Il a ses faiblesses, comme nous tous. Il a ses envies, ses péchés mignons, ses private jokes ... Ainsi, Moffy a décidé que pour le final de Mattou, il était temps de faire table rase du passé. Lui à qui on reprochait trop souvent des arcs bancals, des questions sans réponses, des mystères jamais résolus, il a pris la décision d'enfin tout assumer. Oui, ce toutéliage est douteux. Mais c'est un aveu. Comme Eleven, Moffy n'avait pas de plan. Mais il adorait dire en avoir un. Les fans reprochaient un usage aléatoire des Weeping Angels et des Silences. Moffy en remet une couche. Oui, les Anges ne sont pas les monstres d'un seul loner génialissme. Ce sont sa création, ses jouets. Il fait ce qu'il veut avec. La saison prochaine, il pourra même introduire "The Dancing Angels", leurs copains suédois. Et enfin, il y a Matou, le pas si Eleven qui aura passé 3 ans à l'enthousiasmer et m'exaspérer. C'est le cas une nouvelle fois ici. Plus de demi-mesures, le cabotinage d'une vie pour Matt Smith. Le Docteur de la démesure, qui aura affronté les plus grand enjeux, les plus grands ennemis, les plus grands dangers, mais qui aura surtout roulé plus de pelles que Ten (quoique ...), ou tout du moins en optant pour la diversité (coucou Rory !). Matt Smith ne me manquera pas. Je l'ai aimé, mais il est le symbole parfait de ces 3 saisons : un Docteur bordélique, aussi aléatoire que son showrunner, aussi fanboy, aussi imprévisible ... Et enfin, il y a le reste. Cette façon purement moffatienne de gérer les ellipses de façon très aléatoire (comme en fin de saison 6, comme en milieu de saison 7), d'introduire des personnages comme si on devait les connaître et les aimer depuis toujours (coucou Tasha ! coucou le Paternoster gang !), d'écrire Clara sans aucune personnalité, à tel point qu'il faudra ramener une ancienne compagne dans les dernières secondes pour prouver le manque total d'alchimie que le Doc partage avec elle, de se voiler à moitié la face sur le passé, sans pouvoir s'empêcher d'y faire référence (River Song ? Oui mais non ...) Comment noter un tel épisode ? S'il s'agissait du dernier de Moffy, j'aurais applaudi. Une sortie très classe, qui assume totalement 3 ans d'hasardeux arcs scénaristiques collés les uns à la suite des autres. Comme un mea culpa. Mais Moffy est comme son Docteur, il ne peut s'empêcher de repartir pour un cycle. Alors, régénération, ou vieillard agonisant pour la saison 8 ? Je pencherai pour la seconde option, mais le monsieur est peut-être capable de nous surprendre une fois encore ... Geronimo ! (and welcome Capaldi, je t'aime déjà !) |
Avis favorable | Déposé le 26 décembre 2013 à 01:49 |
Ce n'est pas un épisode de Doctor Who. Enfin pas vraiment... C'est bien davantage un best of Steven Moffat. Il n'y a pas vraiment de scénario, beaucoup de temps mort et surtout beaucoup de réponses aux questions qu'on se posait. Tout y est logique, impeccablement imbriqué, mathématiquement implacable. Non seulement, Steven Moffat résout (comme le souligne Dewey) toutes ses intrigues, mais aussi répond à LA question qui agitait les fans : le set des 13 régénérations, par la solution la plus conne et la plus évidente possible. Et le problème est bien là : cet épisode n'est pas le départ de Moffat, c'est celui de Matt Smith. Et sur ce plan, l'évidence nous surgit à la gueule : il n'y a pas d'émotion. Impossible en effet de ressentir de l'émotion avec un personnage aussi bancal que Clara. La tentative de nous introduire sa famille est complètement ratée. D'ailleurs, les 15 premières minutes de l'épisode sont affreuses de nullité. Clara Oswind Oswald n'est pas une compagne. Elle joue le rôle du spectateur. Posant les bonnes questions au bon moment '"Comment marche les Anges Docteur ?"), et ayant les bonnes déduction rapidement (Le fonctionnement du Silence). C'est un vaste vide, dans lequel il est impossible de s'investir. Car la vraie compagne, c'est Amy. Elle l'a toujours été. Le moment de son apparition est d'ailleurs un vrai moment (le seul) d'émotion de cet épisode. Au delà de cela, Moffat peine à nous faire ressentir quoique se soit. Alors pour compenser ce manque, il en fait des tonnes : faisant surjouer Matt Smith en haut de sa tour, donnant à voir deux résurrections et multipliant des punchlines comme autant de branches sur lesquelles il essaye de se raccrocher. Bien évidement, cela ne fonctionne pas et met, sans cesse, à distance le spectateur. J'ai eu plus d'émotion avec la mort de Handles (best companion ever) qu'avec celle de Matt Smith. Il est temps que Moffat passe la main. Je le sais maintenant. |
Avis favorable | Déposé le 26 décembre 2013 à 00:58 |
Bon bah ça y est. La 11ème heure s'est achevée pour laisser place à la 12ème. Et à part notre chère Clara (et encore, la base de son mystère initiale est maintenant définitivement close) et quelques minuscules éléments, elle n'aura rien laissée derrière elle. Que ce soit Matt Smith, les Ponds, le Silence, et, dans le fond, Moffat lui-même. Tout le travail de ces 3 dernières saisons et 4 dernières années disparus en l'espace d'une dernière heure. Mais quelle heure ! Car malgré le fait que cet épisode n'a pratiquement rien de Noël (non pas que ça soit gênant une seconde d'ailleurs), Moffat nous a fait le plus beau cadeau possible : nous offrir le meilleur épisode de la série (ex-aequo avec The Water of Mars et A Christmas Carol pour moi) et l'un des plus beaux final de tous les temps. Oui, je sais que Moffat reste au moins l'an prochain, mais on ne m'y trompera pas : il s'agit ici aussi du véritable adieu du père des Anges Pleureurs. Finalement, après cet épisode, je comprends le feeling de Koss : il est fort possible que Moffat s'en aille l'année prochaine, après avoir assuré la transition durant la prochaine saison. Il a rempli tous ses objectifs : marquer durablement et définitivement la série, raconter une histoire spatio-temporelle d'une complexité sans précédent dans l'histoire de la série qui reste malgré tout cohérente (et même si les solutions apportées avec cet épisode ne conviendront pas à tout le monde, force est de constater que ça se tiens), pousser son Docteur dans ses derniers retranchements et lui offrir un final plein d'émotions et d'amour envers les fans. Et c'est de ce point de vue là que l'épisode tire son épingle du jeu : avant même d'être génial dans ses idées, l'épisode est époustouflant, prenant, tendu, triste, ... bref, une gestion parfaite de l'émotionnel, et c'était pourtant loin d'être gagné que Moffat y parvienne un jour étant donné qu'il s'agissait de son gros point noir au cours de son run, lui qui durant cette période a si souvent préféré huiler les rouages de sa machine scénaristique infernale plutôt que de réchauffer le coeur de ses spectateurs. Que dire de plus après ce festival de bonheur et de génie qu'aura été cet incroyable épisode (qui surpasse pour moi le 50ème anniversaire), magnifique synthèse et conclusion de l'ère Moffat ? A part quelques minuscule détails qui m'ont un tout petit peu gêné (malheureusement, l'introduction de Capaldi en fait partie), j'ai sur-adoré l'épisode du début à la fin. Et puis, sur un plan purement personnel, l'épisode m'a donné absolument tout ce que je pouvais en désirer, et même plus encore. Adieu Matt Smith, et merci pour tout. |
Bon épisode, mais un peu confut.
Mais j'ai passé quand même un bon moment.
Maintenant reste à attendre