J'ai adoré l'épisode! Le trio Amy/Rory/Docteur marche très bien et l'épisode est bourré d'humour -avec Brian, le docteur qui tue le temps, les cubes ect- Les Pond sont vraiment les compagnons les plus attachants !SPOIL! et j'ai du mal à me faire à l'idée qu'ils vont bientôt partir par contre je ne sais pas comment...

Un épisode à deux doigts d'être génial, qui reste vraiment original et réussit ce qu'il entreprend de plus important.

Evidemment, il n’est pas sans défaut. L'éléphant dans la pièce : la fin. Je pense que tout le monde est d’accord pour le dire, elle est vraiment très très mal foutue et expédiée, et même pas préparée à l’avance dans l’épisode... Les conditions de tournage étant désastreuses avec l'acteur jouant l'alien du vaisseau, le script a dû être réécrit en urgence par Chris Chibnall alors qu'il était en vacances à la plage. Le personnage est devenu un hologramme et un coup de sonic screwdriver a tout arrangé. Très triste mais c'est du coup une résolution désolante.

Malgré tout, l'épisode parvient à captiver avec son invasion lente, un concept excellent même si la résolution ne lui fait malheureusement pas honneur. Après, il faut encore savoir si on est indulgent et qu’on accepte de passer sur certains trucs, ou pas. Pour moi, même si la fin n’est pas passée, le reste de l’épisode était tellement bon, les idées autour des cubes tellement géniales... la réintroduction de UNIT et celle de Kate Stewart est également un moment assez important dans le show.

Mais bien sur, là où l'épisode brille le plus, c'est dans la relation Docteur/Amy/Rory, ce qui lui vaut son titre (titre avec une subtilité mathématique un peu pourrie, "Cubed" aurait été mieux que ce remake de Charmed, mais ce n'est pas le sujet). Il y a des dialogues absolument géniaux et des échanges extrêmement pertinents qui préparent le départ de ces compagnons tout en nous montrant leur évolution depuis longtemps. Ce sont des moments précieux qui font tout le charme de l'épisode et de leur relation, avec une vision super originale et poétique de l'amitié entre Eleven et Amy. 

DOCTOR: Because you were the first. The first face this face saw.

C'est magique et très finement joué par les acteurs. Cet épisode est limité par son scénario se résolvant en eau de boudin mais son originalité et son charme en font un très bon cru.

Il est aussi fondamentalement très divertissant et drôle, puisqu'il plonge le Docteur dans un quotidien ennuyant, laissant ensuite Matt Smith faire son Matt Smith, dans un cadre restreint plus raisonnable que l'épisode des dinosaures. Mais c'est aussi un épisode qui sublime totalement ce tiraillement des compagnons entre la vie humaine et la vie avec le Docteur. L'épisode alterne entre enjeux graves (la question de Brian sur ce que deviennent les compagnons du Docteur) et moments légers de pur bonheur, un peu comme la vie des Ponds, finalement. Rarement aura-t-on vu des compagnons vivre aussi longtemps dans la série, et je ne parle pas de durée IRL ou d'âge, mais bien d'extraits de leur vie et d'évolution.

A défaut d'être le meilleur épisode de la saison, il est sans aucun doute le plus intéressant et le moins décevant de l'ensemble. Même si l'unique raison d'être de cet épisode est de préparer le terrain pour le midseason finale, la première partie avec les Pond est très intéressante. Bien qu'elle montre, en même temps, la totale inutilité de la présence des personnages depuis la fin de la saison 6, et qu'il est vraiment temps qu'ils s'en aillent pour que la série et le personnage du Docteur aillent de l'avant.

Dommage par contre que la deuxième partie parte dans des explications foireuses et une résolution facile et trop classique. Quand au titre de l'épisode, il y avait vraiment besoin de le justifier ?

Par contre, mention spéciale au générique qui est le moins moche des 5 génériques les plus moches de Dr. Who 2005.

Une première partie vraiment intéressante, l'idée de l'invasion lente est bonne de même que mettre le docteur dans une situation d'attente avec les ponds. On retrouve ici un Mat smith en forme après le précédent épisode où il était sous calment, ça fait plaisir.

Dommage que la seconde partie de l'épisode soi inutilement compliquée e sombre dans le n'importe quoi. Les explications sont fumeuses, le truc n'est qu'à moitié résolu, c'est beaucoup plus décevant. Et puis le pouvoir des trois, franchement, ça passe sur Charmed mais pas sur Dr Who !

J'ai néanmoins passé un bon moment, c'est divertissant. Sans plus.

Un épisode sympathique, surtout pour sa gestion de la relation Doctor-Ponds, particulièrement émouvante.

La premières moitié est du coup, plus réussie que la seconde mais globalement cela reste un très bon épisode.

Pour une fois, l'humanité semble se rappeler de la possibilité d'invasions extra-terrestre et ça c'est beau.

J'ai beaucoup aimé, peut-être parce que ça rappelle effectivement RTD.

L'épisode en lui même est de très bonne facture. Je suis circonspect quant à la résolution de la relation doctor/pond par contre.

Un seul mot... EMOUVANT. Le tête à tête entre Le Docteur et Amy mérite à lui seul une note d'exception. J'adore leur relation. J'aimerai les voir partir à nouveau tous les deux. J'ai appris à aimer Rory, mais Amy et le Docteur... Quand il lui explique pour quoi il revient toujours à elle... GA.

Une invasion extraterrestre mondiale, UNIT, les humains qui ont oublié les 48 invasions précédentes, la fille du Brigadier, des écrans de télé avec des journalistes en panique : plus aucun doute, on est en plein ère Russel T. Davis.

Et je dois dire qu'en dépit de toute mes réticence à l'égard de Chris Chibnall (faites que ce mec ne devienne jamais showrunner du show), l'épisode fut plutôt plaisant... sa première partie du moins. Car, honnêtement, le reste, tout le monde s'en fout. Nous avons donc le droit en début d'épisode à un remake de l'épisode "The Lodger" ou Matt Smith nous remontre qu'il a été un bon joueur de foot. Le personnage du père de Rory apporte une bonne dynamique au trio et relance la relation Pond-Doctor vers d'autres sommets. De cela, je ne retiendrais que la discussion sur les quai de Londres entre Amelia et Eleven qui donne un point final explicatif qu'en à la trop longue longévité des Pond comme compagnons.

Stevent Moffat aura décidément très mal géré la fin de ces deux personnages, refusant de ces séparer d'eux, alors que l'évidence se faisait ressentir. Le nouveau statut quo de cet épisode est, à cet égard, assez ridicule puisque tout le monde sait qu'il ne reste plus qu'un épisode aux Pond.

Allez, vivement la fin...

Il y a vraiment deux morceaux dans cet épisode : une idée de départ intéressante autour d'une gestion différente du temps et une résolution finale très classique et peu convaincante. Bref, une bonne idée de départ qui ne mène pas à grand-chose, mais poursuit le désir des auteurs de renouer avec la tradition du docteur.

Le rythme est très haché et la performance de Matt Smith est à souligner, même si certaines scènes ne sont pas très bien inspirés. On peine à comprendre vraiment les enjeux d'une histoire qui oblige le docteur à prendre le temps, mais refuse de sortir de sa routine.

Pourtant, l'idée de l'invasion lente me plait bien et ces cubes opaques, comme des AMT semés dans tous les coins possède une dimension abstraite fascinante. Malheureusement, le mystère qui tient toute l'histoire aboutit finalement à une séquence d'explication qui manque de conviction.

C'est divertissant, mais cela reste du Doctor Who classique, poursuivant une saison qui joue sur les canevas classiques de la série... difficile de le reprocher à Chris Chibnall.

Par contre, le dernier acte manque de panache et ne résout rien d'une intrigue inutilement compliquée et qui aurait gagné à offrir un final moins artificiel.