Community
Jeff est avocat. Mais Jeff doit surtout retourner à l'université car son certificat a été invalidé. Entre les femmes au foyer fraîchement divorcées et ceux qui reprennent les études pour garder leur esprit actif, Jeff intègre une bande de joyeux drilles qui découvre les joies de la vie sur le campus. Ils en ...
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Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, Yahoo! Screen | 2009 |
4 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 5.08
Avis favorable | Déposé le 13 novembre 2015 à 18:22 |
Un épisode excellent satirisant notre société accro aux J'aime et aux Pouces Verts ! Mais en effet, il manque quelques trucs pour faire passer l'épisode à un niveau encore au-dessus... Un peu plus de cohérence (Shirley, n'a jamais été très populaire, elle a toujours été "gentille" avec tout le monde alors pourquoi n'est-elle plus populaire que maintenant), des personnages mieux utilisés (Annie, que j'avais envie de baffer le peu de fois où on l'a vue (et ça, c'est extrêmement rare !), Abed qui est content d'être comme tout le monde, Hickey qui, effectivement, nous fait du Pierce (bien vu de la part de Gizmo)...), et peut-être le "je-ne-sais-quoi' dont parle Koss... Mais le sujet de l'épisode est suffisamment énorme pour que je lui mette 15 ! Tiens, pour revenir sur Abed. Depuis le départ de Troy, chaque épisode instille un élément de sa psyché réagissant au départ de son meilleur ami, sans aller plus loin... J'ai l'impression que Harmon nous prépare quelque chose pour la fin de la saison... |
Avis favorable | Déposé le 06 février 2015 à 23:21 |
Satire efficace, scénario qui bascule dans un grand délire dans le Community College et scène du discours de Jeff hilarante, tout ce qui fait mon bonheur. On peut juste reprocher qu'une fois passée toute la présentation de l'école divisée en différentes classes sociales selon des "notes", on a peu de surprises jusqu'à la conclusion. On se doute que Jeff va retrouver Shirley et on se doute que la moutarde et Britta ça a bien une importance. Et la gestion des personnages secondaires depuis le début de la saison est effectivement incompréhensible, si c'est dû à un manque de budget je pardonne déjà plus facilement mais ça m'a parfois gêné dans l'épisode. Finalement je la vis plutôt bien cette saison "best-of". Jusque là j'irais même jusqu'à dire que ça doit être ma préférée (je n'ai pas comparé avec mes notes de la saison 3 mais elle est au pire des cas deuxième). |
Avis favorable | Déposé le 07 avril 2014 à 22:31 |
Favorable parce que certains éléments étaient bien drôle et j'ai accroché au délire. Mais on reste quand même assez léger sur le fond, il manque un grain de folie qui rendait les épisodes un peu apocalyptiques géniaux auparavant. Bref, cest sympa à regrder mais ça ne va pas marquer l'histoire. |
Avis favorable | Déposé le 11 mars 2014 à 05:08 |
Du bon vieux Community comme on l'aime, du grand n'importe nawak incohérent ! Je regrette quand même l'absence de Troy... |
Avis favorable | Déposé le 08 mars 2014 à 11:30 |
Difficile de ne pas voir dans cet épisode une charge puissante d'Harmon contre Hollywood, contre les producteurs, contre NBC, contre l'entertainment US, contre les spectateurs eux-même.... Contre à peu près tout en fait. Le morceau de stand up de Jeff sonne comme un violent camouflet à l'industrie du rire US et les rires du public sonnent très amers. Le problème, c'est que l'épisode ne va guère plus loin. J'adore Community lorsqu'il adopte un vrai discours de fond. Là, passé le simple pamphlet au vitriol (intéressant au demeurant), l'épisode ne va pas plus loin. Il lui manque cette touche de "je ne sais quoi" qui approfondirai le discours et ferait de l'épisode un hit. Ce n'est pas le cas. Ce n'est d'ailleurs le cas d'aucun des épisodes post-Troy. J'avais peur avec le retour d'Harmon que la série adopte un ton plus léger de comédie. La première partie par sa radicalité m'a donné profondément tord. La seconde partie semble peu à peu me donner raison. Je veux croire qu'il en sera autrement pour les (derniers ?) épisodes restants. |
Avis favorable | Déposé le 07 mars 2014 à 15:19 |
Je suis ultra fan. Bien entendu, il n'y a aucune cohérence, aucune logique, les personnages sont artificiellement balancés pour servir une histoire délirante... mais, au final, je me régale à chaque épisode. Cet épisode m'a fait rire comme rarement. Alors peu importe tous les évidents défauts. Rated 5 MeowMeoxBeenz |
Avis neutre | Déposé le 07 mars 2014 à 11:09 |
Aïe Aïe Aïe ... Lors de la review du précédent épisode, j'écrivais à Koss que, tout comme lui, je préférais le Community méta/parodique au Community sitcomesque de la saison 1, auquel s'apparentait l'épisode 7. Pourtant, cet épisode m'avait plu, car il redéfinissait les bases du nouveau study group et étudiait les nouvelles dynamiques qui l'animaient. J'étais pressé de retrouver mon Community préféré, mais ce genre d'épisode me semblait nécessaire. Et cette semaine, c'est la douche froide. Car, au lieu d'exploiter intelligemment les relations des personnages pour en tirer un délire méta, les scénaristes ont adopté l'attitude inverse. C'était le problème de la saison 4, qui imposait des délires forcés, pour ensuite essayer d'y caser chaque personnage. Oui, j'ai honte de le dire, mais cet épisode me rappelle la saison 4. Il y a pourtant des choses à exploiter dans le Study Group, et il aurait été intéressant de se baser sur de nouvelles caractéristiques de Shirley, qu'elle aurait acquises durant les 2 ans qui ont séparé les saisons 4 et 5. Mais non, cet épisode nous ressert encore et toujours la même soupe, Shirley la pieuse qui profite de son ascendant pour faire culpabiliser son entourage, contre le brave Jeff, roi de la coolitude, qui rétablira la justice. Le reste du cast est au demeurant absent, que ce soit Abed, cantonné à 3 répliques, Britta, qui touche le fond avec son histoire de moutarde, ou Annie et Chang, en mode "pot de fleurs". Seul Buzz Hickey, avec sa blague d'anniversaire, m'a arraché un sourire. Même si on sent bien que tout cela était destiné au personnage de Pierce (lui faire porter le sombrero miniature du 1x02 ne fait que renforcer cette impression). Le problème de cette saison vient des restrictions budgétaires évidentes, qui empêche l'intégralité du cast d'être présent à chaque fois. Ainsi, tandis que le Dean était quasiment absent depuis 3 épisodes, cette semaine c'est Duncan qui disparaît, ainsi que nombreux visages familiers de Greendale. Community a toujours eu besoin de ses seconds couteaux, ils définissent Greendale. Alors pourquoi nous infliger Koogler, cet ersatz de personnage sorti de nulle part, quand on a Vicky ou Léonard sous la main ? Certes, il est bon d'introduire de nouveaux personnages, mais tout semble bien trop forcé cette fois-ci, surtout quand on voit la sous-exploitation du Dean à côté. Cet épisode prouve bien les limites du show. Sans être correctement encadré, et sans s'appuyer avec intelligence sur ses personnages, la série ne peut que sombrer. C'est l'apanage des grandes séries de reposer sur d'aussi grands enjeux, mais Community doit faire attention au chemin qu'elle prend. La saison 3 offrait une parfaite évolution des protagonistes, qui les menait jusqu'au climax de fin de saison tout bonnement excellent. Ici, ce qui devrait être une forme de climax, ce qui devrait nous impliquer émotionnellement retombe comme un soufflé. Community n'aurait-elle plus envie de s'amuser ? |
Je n’ai pas trop compris le personnage de Koogler ou si c’est une référence qui m’ait passé au-dessus. Néanmoins, j’ai vu qu’il était interprété par Mitchell Hurwitz qui est le créateur d’Arrested Development, série dont les 3 premières saisons m’ont fait rire comme jamais (après, c’est cata).
Sinon, même si je regrette que les personnages aient déjà abandonné leur humanité de l’épisode précédent pour redevenir des silhouettes qui s’agitent en fonction de l’intrigue, l’épisode est vraiment bon, limite prophétique avec ces notifications où l’on note les gens et ses voisins (la Chine est en train de le mettre en place) et ce final, clin d’œil (caricatural) aux purges communistes.