On n'est pas bien là à dauber sur une série qu'on regarde depuis 12 saisons ?
Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 12.03
Avis neutre | Déposé le 12 septembre 2020 à 12:40 |
Mouais, c'est pas génial génial. C'est très automatique avec des twists de la mort complètement improbables et complètement cons et de très grosses longueurs. Après, est-ce qu'il est pire qu'un épisode de Mark Gatiss ou d'Helein Raynor ? Je pense qu'on est sur le même niveau. |
Avis neutre | Déposé le 29 janvier 2020 à 06:57 |
Haha ben moi je l'ai pas trouvé si pire celui là ! Le message est naze et poussif (cette fin mon dieu... Et la BBC qui appelle le Docteur "Space Greta"... sauvez moi pitiez). Mais le côté alien fonctionne bien chez moi, je suis vraiment fan du genre ça joue beaucoup. J'ai bien aimé l'environnement aussi ! Et le twist sur la planète. Non vraiment je comprends pas comment on peut trouver ça pire que "Arachnid in the UK" ou "The Next Doctor". |
Avis défavorable | Déposé le 24 janvier 2020 à 10:05 |
Orphan 55 ressuscite le pire de la saison 11 dans un épisode fainéant et sans vision, se donnant des airs pour ne faire que répéter ce que la série a déjà dit de manière plus convaincante et subtile. Un épisode à oublier, un de plus pour l’ère de Chris Chibnall. Plus de détails dans la critique. |
Avis défavorable | Déposé le 14 janvier 2020 à 10:25 |
L’épisode ne dure que 45 minutes, au lieu de l’heure habituelle. C’est sa seule qualité. Car, sinon, c’est vraiment zéro de chez zéro, un moche plagiat d’Aliens, avec des personnages secondaires affligeants dont on espère qu’ils vont tous se faire croquer. Manque de pot, les 3 Stooges sont une nouvelle fois épargnés (je n’en peux plus des « gags » de Graham alors qu’il est en danger mortel et que les morts se succèdent autour de lui. On se croirait dans Avengers). Le message écologique final est tellement opportuniste et lourdement explicatif, qu’il m’a donné envie de prendre 20 bains sur une journée, acheter une voiture diesel, la faire tourner dans le vide et jeter mes déchets plastiques directement dans l’Océan. |
Avis défavorable | Déposé le 13 janvier 2020 à 23:32 |
Je croyais qu'on avait touché le fond avec The Pyramid at the End of the World, mais non. On dirait une mauvaise fan fiction d'un débutant qui veut copier sa série préférée. On voit les intentions, les schémas habituels des épisodes. Sauf qu'il est fascinant de constater qu'absolument tout est raté. Les monstres, la réalisation, les dialogues, les personnages secondaires, la cohérence même de l'intrigue... Le run de Jodie va laisser un sale goût alors qu'il a fallu tout ce temps pour avoir un Docteur femme et je sens gros comme une maison l'amalgame se construire chez certains... Affligeant de bout en bout |
Avis défavorable | Déposé le 13 janvier 2020 à 21:58 |
https://www.youtube.com/watch?v=CoB36zxT940 Empilement d'idées de merde sans cohérence ni vraisemblance, pire réalisation de toute la série (virez moi ce tacheron et rendez nous Talalay), message politique infantilisant et insultant, storyline débiles pour combler un scénario qui peut tenir en l'espace de quinze minutes, après un épisode qui refusait de prendre un quelconque risque mais qui possédait tout de même certaines qualités derrière la déception, Ed Hime nous offre un des pires épisodes de toute la série. C'est tellement nul à chier sur tous les points que j'ai même pas envie de prendre la peine de les décrire, tant l'épisode n'est sauvé du 1/20 que par le fait que cette fois la saison semble un minimum showrunnée et construite sur la longueur. (Thirteen quand même plus amère qu'avant et je sens une tension grandissante dans la team tardis.) Je retourne sur les classics et sur big finish, là au moins y a du contenu. |
Avis défavorable | Déposé le 13 janvier 2020 à 14:43 |
Comme prévu, c'est nul à chier. Comme le seront la quasi intégralité de cette saison (et de la suivante aussi). Les personnages secondaires sont sous-écrits et leurs arcs sont baclés à toutes vitesse. Mention spéciale à l'arc du père et son fils. Les incohérences se ramassent à la pelle comme les seringues sur les trottoirs de la rue La Chapelle et la fin se voit venir au bout de 5 minutes d'épisode. Allez purge suivante... |
Avis neutre | Déposé le 13 janvier 2020 à 11:23 |
Hot take ? “Orphan 55” ne marche pas trop. Mais vraie hot take : c’est quand même un épisode parfois assez brillant. En fait, la catastrophe de prod’ brûle peut-être la rétine, mais on retrouve au moins un Hime qui, peut-être sorti de garde à vue, tente coûte que coûte de balancer toute sa rage à la face des téléspectateurs. Alors c’est carrément maladroit. Et le discours “in your face” a d’ailleurs plus fait enrager les gens contre le scénariste que contre le changement climatique. Pour autant, et c’est personnel, je préfère un Doctor Who raté qui essaie à, en gros, “Spyfall partie 2” Et pour être juste, il y a plein de petites touches intéressantes dans “Orphan 55” et Hime arrive toujours, grâce à son humour, ou ses personnages, à transformer chaque échec en un meme. “Euh, we both have dead parents.” Mais on est aussi dans cette situation où un des sommets (à ce stade) de l’ère ne peut s’apprécier qu’au troisième ou au quatrième degré. La série a encore beaucoup à parcourir. |
Avis défavorable | Déposé le 12 janvier 2020 à 21:28 |
Un épisode qui parvient à donner l'impression que In the Forest of the Night est un chef d'oeuvre. Car non seulement il n'était pas si mauvais que ça (je trouve l'épisode très sous-estimé), mais en plus il était plus subtil alors que son message était déjà très explicite. Je ne trouve pas qu'il s'agit du pire épisode de la série, il n'est pas pire que Tsuranga à mes yeux par exemple, ou les derniers épisodes de la saison 11. Je trouve quelques idées éparpillées dans l'épisode, pour la plupart au début, qui valent le détour :
Pour le reste, l'épisode est complètement plombé tout du long par sa mauvaise gestion des péripéties et des personnages. On a un ensemble cast de 12 personnages (12 purée !!!) dont on se contrefout totalement. Ils ont tous une backstory secrète absoluiment éclatée, de la terroriste qui "oh mince en fait je ne veux plus", la mère qui revient à la dernière minute, la fameuse BENIII grandma assez culte chez les fans (et franchement, je l'aime bien pour ça), le père et son fils absolument sous-écrits et clichés, etc. Et la Fam est nulle, avec encore un focus sur Ryan (le suçage de pouce, mal exécuté), ce qui n'aide pas. Le problème c'est que faire des Dregs des créatures de pur instinct signifie que 100% des "problèmes" dans l'avancée de l'épisode provient soit de problèmes techniques bien pratiques pour l'histoire, soit des personnages eux-mêmes. Ce qui fait qu'ils prennent tous des décisions connes ou sorties du chapeau (l'enfant qui boude au pire moment, la terroriste qui devient gentille, etc.). C'est bordélique, les monstres ont un design correct mais la réalisation est une catastrophe. Il n'y a pas UN SEUL plan où un monstre est filmé près d'un humain pour donner une sensation de menace : le montage est d'une atrocité sans nom. On dirait qu'ils ont filmé d'abord toutes les scènes entre humains, puis qu'ils ont entrecoupé ça de gros plans sur les têtes des Dregs. Probablement la pire tentative d'épisode "horrifique" de l'histoire. Fear Her est franchement plus poignant avec un placard, vraiment. Les costumes sont horribles (entre Cats et le duo Cetelem, qui est le pire...) et les beaux décors sont entraperçus 2 secondes entre deux passages dans le couloir. Quasiment rien ne va dans cet épisode d'un point de vue design, dommage car le world-building n'était pas mauvais. L'écriture est un calvaire aussi. Chaque personnage a son putain de subplot, le scénar ne respire jamais, c'est un vrai enfer. Les persos secondaires sont tous plus débiles les uns que les autres (le gosse qui enferme tous les persos bordel, la résurrection de la mère perdue sortie de nulle part, cette même soldat complètement sociopathe qui annonce à une femme avoir tuée son mari OKLM, la pire terroriste de l'histoire qui ne se souvient pas avoir posé ses bombes, la grand-mère relativement attachante qui ne fait que hurler la même ligne de dialogue)... Vient ensuite le propos. Je suis totalement à fond avec l'idée et je trouve même les séquences où Jodie explique "dans le feu de l'action" à Ryan et Graham que les scientifiques nous ont prévenu, que sont bien maîtrisées. Le problème réside exclusivement dans la scène final. Le ton moralisateur est vraiment un faux pas, alors qu'il aurait été pertinent de rassurer les compagnons surtout. La subtilité est complètement absente. Quand je repense à la saison 10 et ses épisodes comme Thin Ice, Oxygen ou même Smile, c'était quand même autre chose. Sur le papier je vois comment cela a pu passer, mais vraiment tout tombe à plat tellement le rythme et la forme de l'épisode sont éclatés. Cela pénalise plus le message de l'épisode qu'autre chose : je ne vois pas quel climatosceptique va changer d'avis ou réfléchir avec cette fin d'épisode, ça va plus les borner qu'autre chose. Le message de fin est de plus vraiment vain, In the Forest of the Night était délivré par une enfant donc forcément c'était simpliste, mais la poésie fonctionnait et cela collait au scénar' de l'épisode. Culpabiliser le téléspectateur vraiment, à quoi bon ? D'autant que, ça devient presque "politique", mais je ne suis pas vraiment de l'avis du "problème du lave-vaisselle qui consomme trop", le problème est à un niveau vraiment culturel, structurel/national et supranational même, et culpabiliser la population lambda n'aide pas vraiment. Après, je comprends que cela colle globalement avec la vision du Doc de Jodie, très tournée sur "la puissance de l'individu" à la Tennant. Le problème est vraiment dans la façon dont c'est délivré, et après un épisode franchement qui ne fait rien de bien. A l'époque, après la bonne surprise Spyfall, difficile de savoir si Orphan 55 était un retour au bas standing de l'ère Jodie, ou simplement d'un accident de parcours d'une saison 12 plus ambitieuse. Il s'avère que c'était pour moi rien de plus qu'un accident qui ne sert qu'à nous rappeler que la série est toujours capable du meilleur comme du pire. Cela dit, pour son début et ses idées originales, et le mérite qu'on parle beacoup de lui, ce n'est pas le pire épisode ever comme je peux le lire. Mais on n'en est pas loin non plus. |
Trop rapidement on est confronté au problème de la planète, sans profiter du côté paradisiaque.
Le twist pour faire passer un message, pourquoi pas. Mais c'est trop lourdement amené en fin d'épisode.
Et que dire sinon que c'était un mauvais remake de Midnight.