Alors, là, OUI, OUI, mille fois OUI !

Le scénario est excellent, madame de Pompadour déborde de charisme et d'intelligence, les automates sont beaux, à la fois inquiétants et poétique, le cheval est un élément absurde absolument génial... Et même Mickey et Rose qui font un peu de la figuration dans cet épisode, parviennent à être très drôles à chacune de leurs interventions.

Et l'imaginaire déployé ici a quelque chose de beau et fascinant à la fois.

Bref, un sans faute.

Et même si ça devient un peu fatigant que tout personnage féminin rencontrant le docteur se doive de tomber fou amoureux de lui, au moins ici c'est bien fait (à la différence de l'épisode précédent) - l'histoire est touchante et tous les personnages sont dignes et adultes d'un bout à l'autre. Pas de jalousie puérile de la part de Louis XV ou Rose... et ça c'est cool.

C'est pour ce genre d'épisode magiques que ça vaut le coup de se fader des dizaines d'épisodes ratés dans Dr Who.

Histoire géniale, un film à lui tout seul, le lien entre androïdes et êtres vivants est très bien exploité. L'émotion est toujours intelligemment contrebalancée par l'humour du scénariste. Les acteurs et particulièrement l'actrice qui joue Pompadour sont excellents

Bah un épisode absolument monumental quoi.

Ambiance parfaite. Idée géniale usant enfin du background temporel de la série.

Pompadour très attachante et touchante. Un Tennant excellent. Scénario très bien foutu, idées toutes plus géniales les unes que des autres. Relation Doctor-Reinette très touchante. Conclusion absolument superbe.

Mickey et Rose sont franchement pas mal, et il faut dire, normal parce qu'ils sont très absents. Moffat, je t'aime.

Ah ! Enfin un bon épisode dans cette saison 2 ! Merci Moffat !

L'ambiance est excellente et à nouveau, la relation entre le Docteur et les enfants est magnifique... Le Docteur qui se retrouve à nouveau face à sa solitude et à l'inconvénient de pouvoir voyager dans le temps... L'idée des "pièces" du corps humain pour réparer le vaisseau était aussi une bonne idée.

Par contre, j'ai trouvé l'explication de la présence de Mme Pompadour dans le vaisseau assez légère: Je veux bien que les robots veuillent son cerveau à elle parce que son nom est celui du vaisseau (y'a déjà eu plus tiré par les ch'veux dans Dr Who je pense...) mais justement, pourquoi le vaisseau s'appelle le SS Madame de Pompadour et pas un autre... J'aime bien les fins ouvertes mais là, j'ai trouvé ça décevant...

un énorme épisode, un des meilleurs de la saison 2 et du debut de lère tennant.

L'émotion ainsi que l'ambiance est présente.

Cet épisode fut pendant très longtemps mon épisode préféré de l'ère 2005. Je pense qu'il n'existe pas meilleur épisode qui témoigne de toute l'étendue de la magie du show.

C'est une histoire magique donc, celle d'une petite fille et de son ami imaginaire. On observe cette petite fille grandir, à travers les yeux du Docteur, pour devenir une adulte. On assiste à la naissance d'une fascination qui se transforme en histoire d'amour. L'introspection dans l'esprit de Reinette est fantastique. Elle nous ramène en parallèle vers une étude sur le Docteur lui-même, du "Doctor Who ?" à la "danse" que les deux mèneront, l'histoire nous montre une sorte de nouvelle facette du personnage du Docteur, une habitude chez Steven Moffat.

POMPADOUR: There comes a time, Time Lord, when every lonely little boy must learn how to dance.

The Girl in the Fireplace, c'est aussi une histoire au scénario incroyablement triste. Inutile d'expliquer à quel point la fin est magistrale.

POMPADOUR: One may tolerate a world of demons for the sake of an angel.

The Girl in the Fireplace, c'est enfin un mélange de genres tel que la série a souvent montré et montrera encore, mais jamais avec autant de justesse. Le parallèle entre les deux époques était absolument parfait, montrant toute les subtilités du temps et l'improbabilité de l'univers. L'intrigue est complètement sublimée par la dernière image.

POMPADOUR: The monsters and the Doctor. It seems you cannot have one without the other.

L'épisode est également magnifique techniquement, que ce soit les décors de Versailles ou les musiques merveilleuses (le thème Madame de Pompadour). Il y a des moments d'horreurs exquis avec les tic-tac et l'horloge brisée, il y a des moments complètement délirants comme le Docteur bourré ou le cheval Arthur comme pur élément absurde, il y a des répliques cultes, qu'elles soient drôles ou percutantes. Il y avait tout.

Plus encore, c'est surtout la première fois que le show explore vraiment toutes les possibilités offertes par les voyages dans le temps. The Girl in the Fireplace semble, même plus que les autres épisodes de Steven Moffat sous le Dixième Docteur qui suivront, être le vrai pilot pour The Eleventh Hour, le premier épisode de l'ère du Onzième Docteur, dirigée par Moffat. Les peurs qui se cachent sous le lit, l'ami imaginaire d'une petite fille de 11 ans qui revient la voir quand elle a grandit, le Docteur vivant une histoire d'amour... Des thèmes fondamentaux traversent cet épisode et c'est magnifique de voir qu'ils transparaissent déjà en 2006, quand le show n'avait même pas encore réintroduit des éléments aussi basiques que les Cybermen ou Gallifrey.

Ce n'est donc pas le tout de carrément définir le genre de la science-fiction basée sur la temporalité que la série suivra ensuite, l'épisode parvient plus généralement à préparer avant l'heure le show vers l'étape suivante, comme une ère nouvelle, le tout en livrant une histoire remplie d'émotions et de finesse. C'est ce qui fait que c'est un chef d'oeuvre !

Vraiment un très bel épisode, l'ambiance est géniale (gros travail sur le son), la construction narrative fort bien pensée et la fin assez émouvante.

Des épisodes de ce niveau, j'aimerais en voir plus !

Un épisode grandiose.

Les deux précédents ne m'ont pas convaincu et m'ont presque fait abandonner la série, je suis heureux de ne pas l'avoir fait.

Décidément, je suis en train de me faire les commentaires de tous les Doctor Who et j'adhère à ceux de Marino à chaque fois. Il/elle a tout dit.

Juste parfait cet épisode, celui que j'ai le plus revu. Fin horriblement triste et cruelle mais qui en dit beaucoup sur ce que vit le Docteur.