Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 5.09
Avis favorable | Déposé le 08 novembre 2012 à 17:10 |
Un peu mieux que la première partie car il y a plus d'actions. J'allais mettre 12 mais la fin avec Rory + le morceau du Tardis fait remonté l'épisode d'un point. |
Avis défavorable | Déposé le 16 mars 2012 à 07:31 |
J'aurais aimé mettre la moyenne à l'épisode. La première partie du dyptique n'était pas énorme mais promettait quelque chose de sympa. Et en fait, il n'en est rien. Une bonne partie de l'histoire est affreusement prévisible à cause du précédent en partie, mais même avec ça, on en sort quand même déçu, je m'attendais à un peu plus d'action quand même, là içi, que dalle, à part deux trois lézards flingués sur 5 minutes à peine. Et puis du coup, comme c'est prévisible et que certains trucs se résolvent HYPER facilement, le reste du temps, clairement : on se fait chier !!! J'aurais aussi aimé croire pleinement à la mort de Rory, qui aurait été pour le coup sacrément osé et aurait remonté l'épisode dans mon estime, mais même les scènes finales empestent du sentiment qu'ils vont nous trouver un petit quelque chose pour le faire revenir. Mais malgré tout, cet épisode montre que d'un point de vue scénaristique, la saison est encore mieux ficelée et les épisodes plus dépendants les uns des autres. Ce qui est à la fois un point fort et un point faible : l'équipe de la série peut dès lors difficilement connaître un raté sans que ça affecte assez fortement l'impression du spectateur sur l'ensemble, là ou avant un épisode plus foireux pouvait plus facilement s'oublier ... Et, bon, je sais que ça va pas plaire à Koss, mais, cet épisode prouve le gros défault de la saison pour le moment : les personnages sont moins attachants que ceux des 4 premières saisons (même si je suis quand même parvenu à m'attahcer à Amy et au nouveau Doctor). La preuve : je n'est absolument rien ressenti à la mort de Rory (où un tout petit peu, mais c'est du à la réaction d'Amy, pas à la grand perche attardée), alors que, par exemple si Rose, Donna ou même Martha avaient été gravement blessé (ou en gros, subit un truc moins pire), j'aurais été bien plus affecté. |
Avis défavorable | Déposé le 12 février 2012 à 18:39 |
Toujours aussi mauvais. J'ai vraiment du mal à m'attacher aux personnages. Du coup je dors sur place pendant les épisodes. Le cliff de fin bien qu'arrivé comme un cheveux sur la soupe est finalement assez bienvenu. |
Avis défavorable | Déposé le 11 août 2011 à 20:00 |
Faire de la merde sur un double épisode c'est beau. Les hommes Lézard faut les laisser dans V. Et puis la morale me passe de travers. La débilos de service faut la buter tout simplement. Il faut pas oublier qu'elle a niquer l'avenir de 2 races qui auraient pu très bien s'entendre. Seul le cliff de fin de est extrêmement bien réfléchi. Y'a pu de Rory mais il va revenir à coup sur donc ca me plait pas forcément vu la fin pourri qu'il a eu. Le bout du Tardis par contre j'ai hate de savoir ce que c'est. |
Avis neutre | Déposé le 07 juin 2011 à 21:12 |
Mieux par rapport au précédent, parce qu'il s'y passe plus de choses. On n'évite quand même pas certaines lourdeurs (la séquence de flashback sur Rory au final, un peu trop à mon goût) et la première partie a clairement gâchée certains effets (la mort d'Alyayatrucmuche qui était complètement annoncée précédemment).
Toutefois, la conclusion de l'épisode laisse entrevoir de très nombreuses pistes et remonte un peu le niveau global. |
Avis favorable | Déposé le 14 février 2011 à 22:19 |
J'avais tort ! Cet épisode est très intéressant, du bon Docteur Who. En tout cas il y a des tas de choses très très intrigantes, à commencer par le bout de tardis retrouvé dans la fissure, et surtout Amy du futur qui fait signe à Amy du présent. Je ne doute pas qu'on reverra ces hommes lézards ainsi que ceux qui sont restés en hibernation avec eux, ça ferait sans doute un très bon épisode. Cet épisode lance des tas de pistes et fait de Dr Who une série de plus en plus feuilletonante, ce qui n'est pas pour me déplaire. |
Un épisode bien plus intéressant que le premier, déjà. Mais ce n'était pas dur.
La séparation des personnages est la meilleure idée de l'épisode, le contraste entre ce qui se passe en surface et ce qui se passe sous-terre dynamise l'épisode par rapport à la première partie, et donne un vrai rôle à Rory... Mais tout reste très anecdotique et sonne faux.
J'ai vu une vraie tentative de développement des personnages en surface qui s'organisent autour de la simple phrase d'Alaya : "Je sais même qui va me tuer...". Ambre devient l'humaine agaçante et faible, Rory s'affirme en chef de groupe et le Grand-Père malade veut se soigner, chacun a ses motivations, quoique le suspens est un peu faiblard.
La morale "Il faut toujours montrer le meilleur de l'humanité" est classique mais bien en rapport avec l'épisode. J'aime le fait que ça soit assez noir et qu'Ambrose reste en vie, le tout fait vraiment écho aux futures thématiques de l'ère Chibnall (sur l'humanité justement).
Le gros problème, c'est que l'épisode abuse complètement en alignant les "méchancetés gratuites" des humains. Ambrose et son père perdent non pas une, non pas deux, mais bien trois voire quatre fois, des occasions de la boucler. C'est vraiment mal écrit, très rageant, et ce n'est pas que pour montrer des personnages gris : c'est le signe d'une certaine incompétence du scénariste, qui trouve sans cesse un prétexte à créer des problèmes. Certains aspects de l'épisode sont aussi assez foirés, et le moment où un écran cassé s'allume dans la cave de l'église est méga cheapos (wtf ?). Cet épisode est bourré de grossières incohérences.
Ce qui se passe en-dessous est malgré tout un peu intéressant, les Siluriens sont mystérieux et plutôt sympathiques, même si les personnages d'Alaya et du médecin étaient un peu trop stéréotypés - en plus de rentrer en contradiction avec la première partie où clairement, on sous-entend que le médecin était méchant, disséquait les humains et ne parlait pas (il faisait souffrir le père d'Elliott...). Malgré cela, j'ai particulièrement aimé la mythologie autour de leur hibernation et de l'ancienne civilisation avant les humains, classiques de SF. Pour tout ce qui concerne le "partage de la Terre", c'est pas mal, mais voir Amy bailler pendant presque toute la durée des négociations, c'était pas très malin et cela la fait passer pour une sorte de nunuche, alors qu'elle est loin d'en être une. Nasreen ressort comme le personnage le plus attachant, grâce à l'actrice surtout, et sa fin assez spéciale.
De plus, il y a des facilités assez immondes comme le tournevis qui désactive les armes, le président des Siluriens un poil trop gentilet, sa solution du gaz de décontamination qui aurait pu être ingénieuse si elle avait été introduite au moins une fois plus tôt dans l'épisode. Ou enfin, Restak qui rampe à la fin le temps de tirer une dernière fois sur le Docteur...
Globalement, le tout manque un peu de folies, de rythie, et surtout de beaucoup de finesse, ce qui donne un mélange médiocre pour un épisode qui aurait pu être beaucoup plus intéressant. Et puis, l'épisode a vraiment un côté irritant, entre Ambrose vraiment trop stéréotypée, les décors souterrains très kitschs, les Siluriens trop humanoïdes, ou même la musique agaçante...
Inutile de dire que la fin de l'épisode est la partie la plus mémorable et sauve l'ensemble, même si elle a clairement été racolée à l'intrigue par Moffat. En tout cas, elle donne une certaine place dans la saison à l'épisode, jusque là un peu inutile. On ne s'y attend pas du tout (en même temps la faille est amenée avec les pieds, contrairement à l'épisode des Anges). Mais entre la mort de Rory, l'amnésie d'Amy et le bout de TARDIS à la fin, je suis resté sur le cul. L'émotion n'y est pas vraiment, puisqu'on connaîit peu Rory. Mais malgré tout, cela fait un rebondissement très intéressant.
Pas ouf, c'est une amélioration par rapport à la première partie sur certains points, mais pas sur d'autres... dans ce qui reste un des double-épisodes les plus faibles de la série.
Il est amusant de constater en revoyant cet épisode en 2020, que le Doctor Who de Chris Chibnall y transparaît déjà, avec un Docteur pacificateur, un message très humaniste et un rythme aux râs des paquerettes. Finalement, tout y était dès le début !