Je crois que la série est terminée. Ted n'est plus à l'écran, mais il a distillé sa mentalité à tous les autres personnages, qui tour à tour, vont fermer leur arc. Toujours en réparant ce qui a été cassé.

Il y a notamment ce discours de Rebecca. Un discours cliché entendu mille fois. Ce monologue aurait été asséné en début de série, ça n'aurait jamais pris. Mais là, on a parcouru tout le trajet avec ces personnages et forcément, nous aussi, on a été convaincu par "Football is life". C'est terriblement émouvant. Le cynisme ambiant a été vaincu. Et même si rien de tout cela ne serait possible dans la vie vraie, on veut y croire, ne serait-ce qu'un instant, que l'énergie Lasso parvienne dans notre monde. Believe, et cette fois, pour de bon.

Superbe épisode.

Je crois que la série est terminée. Ted n'est plus à l'écran, mais il a distillé sa mentalité à tous les autres personnages, qui tour à tour, vont fermer leur arc.

Il y a notamment ce discours de Rebecca. Un discours cliché entendu mille fois. Le discours aurait été asséné en début de série, ça n'aurait jamais pris. Mais là, on a parcouru tout le trajet avec ces personnages et forcément, nous aussi, on a été convaincu par "Football is life". C'est terriblement émouvant. Le cynisme ambiant a été vaincu. Et même si rien de tout cela ne serait possible dans la vie vraie, on veut y croire, ne serait-ce qu'un instant que l'énergie Lasso parvienne dans notre monde. Believe.

Superbe épisode.

Un point de plus pour la fin de la réunion Akufo League, et pour Roy en peignoir rose -ce qui m'a ravie à bien des égards....

Sinon,pas plus emballée que ça par l'épisode, et cela fait un moment que le personnage de Nate ne m'intéresse plus- ..

Plein de bons sentiments dans cet épisode qui permet à Rebecca d'enfin se libérer de Rupert (et ça fait du bien). Oui, la partie sur la ligue est carrément utopique (mais elle fait du bien aussi), mais elle sert surtout à renvoyer au club le besoin de gagner pour soi, pour ceux et celles qui supportent, pour l'amour du sport. S'il est impossible que le projet d'une telle ligue suive le même chemin que dans la série, il n'empêche que l'épisode se pose aussi en exemple, plus local, plus à portée de main, afin de rendre les choses plus saines. C'est cohérent, Ted Lasso est une série qui veut réhumaniser ce qui s'est un peu perdu.

Et c'est ce qui se passe avec Roy (bon sang, le coup du tee-shirt et Red Right Hand), ce qui se passe avec Nathan (décidément, tout va de surprise en surprise concernant le traitement de ce personnage !), ce qui se passe avec Keeley et May au bar, et même entre Rupert et Rebecca (la vraie libération vient quand elle accepte qu'il est une partie de son passé sans le repousser, le rendant plus humain qu'il ne l'a jamais été jusqu'ici au travers de cette anecdote d'enfance).

Je me faisais la réflexion depuis plusieurs épisodes : mais où est passé Ted ? La série porte son nom mais il semble n'avoir plus qu'un rôle secondaire désormais. Est-ce que c'est parce que les autres personnages se sont étoffés ou bien est-ce parce qu'ils arrivent désormais à combattre seuls leur(s) démon(s) et donc que la présence de Ted n'est plus qu'accessoire ? (nous préparant doucement vers la fin de la série et sur un éventuel départ)

Toujours est-il que j'ai beaucoup aimé cet épisode utopiste (car on sait tous qu'aucun club de foot refuserait une grosse somme d'argent uniquement par amour du sport), plein de tendresse et de justesse dans les relations.

Dire qu'il ne reste que 2 épisodes. Comment vais-je retrouver ma dose de bonheur ?

Au-delà du plaidoyer anti Superleague où la raison du cœur l'importe sur les portes-feuilles (douce utopie) et en parallèle des désillusions de Keeley et Nate (mais qui seront vite réglés), un épisode très sympathique, qui commence à clore les fils rouges (Roy et Keeley, Nate et West Ham), en vue du final. 

Nate toujours, j'ai bien aimé son échange avec son père, j'ai trouvé ça touchant.