Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Avis sur l'épisode 18.25
Avis favorable | Déposé le 28 mars 2020 à 15:05 |
Ok, je suis déjà amoureux de Tegan. Déjà, cela fait très longtemps que nous n’avions pas eu une compagne terrestre, depuis Sarah Jane et Harry en saison 12 en fait. Et qui a eu la brillante idée de caster Janet Fielding, juste rayonnante et pétillante, hôtesse de l’air en herbe qui veut s’envoler et relève toujours les challenges sur sa route - littéralement ici avec sa crevaison ? C’est méga simple et pourtant totalement efficace. Le fait qu'elle ne rencontre pas tout de suite le Docteur est aussi rafraîchissant. On apprend à la connaître pour ce qu'elle est séparément, voir sa confiance en elle, son positivisme, ses idées progressistes pour l'époque, mais aussi paradoxalement un certain manque de confiance en elle qui transparaît quand elle arrive dans le TARDIS. C'est la Donna de l'époque. L’épisode est un montage constant entre deux scènes : Tegan et sa tante sur la route donc, et Adric et le Docteur qui se baladent dans des lieux inexplorés du TARDIS. On a ici affaire à une petite bombe de mythologie avec les Cloister Bells, le caméléon circuit et cette idée géniale de matérialiser des TARDIS dans les TARDIS à travers une récursion infinie (Steven Moffat n’avait donc rien inventé avec “Space and Time” en 2010). Au milieu de tout ça, des mentions du départ de Romana et du retour du Maître continuent de donner un aspect feuilletonnant très appréciable à cette saison, et une mystérieuse figure blanche sacrément creepy m’a rendu déjà inquiet pour les personnages. Il en faut peu parfois. Un TARDIS, non, deux TARDIS, une compagne débrouillarde et pétillante, un mec en costume blanc totalement immobile qui la fixe à l’horizon, une route de campagne anglaise paumée, des pneus crevés et le retour du miniaturiseur du Maître en guise d’excellent cliffhanger. C’est aussi ça la magie Doctor Who : faire une ambiance de dingue et faire "beaucoup" avec trois fois rien.
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Il y a une vraie ambiance qui se dégage de cet épisode : un montage parrallèle efficace, une musique vraiment réussie, un mystérieux personnage mystérieux et un Four plus sombre que jamais. Il parle super mal à Adric, qui, il faut le dire, est vraiment horripilant avec sa tête de fayot et ses remarques pénibles.
Et puis surtout, c'est la fête du Lore : la visite du Tardis (et la chambre de Romana), le Docteur qui mentionne qu'il a pris le Tardis alors qu'l était en réparation et la cloche du cloître, sur-utilisé par Moffat des années plus tard.