une série d'aventrue familiale qui, sans révolutionner le genre, propose quelques petites choses intéressantes. L'histoire se tient, le trio est agréâble et il y a suffisament de rebondissement pour compenser des intrigues un peu trop balisée. C'est globalement bien réalisé et plaisant à regarder.

Probablement pas la série du siècle mais on passe un bone moment. Et dans tout le lot de série déprimantes et un peu trop sérieuse que l'on voit ces derniers temps, une série plus légère sans prise de tête, a ne fait pas mal.

3 fois le même coup sur une seule saison : je veux bien être concilliant, mais quand même ! Donc l'intrigue policière n'a qu'assez peu d'intérêt, le coupable est tout de suite connu, d'autant que l'épisode ne se casse pas trop le cul à nous mener en bateau. Si l'idée de départ n'était pas bête (le mari est tué à côté de sa femme aveugle qui est donc le seul témoin mais qui ne peut avoir perpétré le crime parce que réussir à tirer à 6m de distance et toucher la victime en plein coeur en étant aveugle, c'est compliqué), l'épisode essaye de nous faire croire le contraire et ne propose rien d'autre. Donc côté enquête, c'est zéro pointé et la résolution est à la limite du torché, il faut bien l'avouer.

Côté inspecteur, on est sur la classique intrigue "va t-il rester ?" et si la réponse est connue d'avance, c'est bien foutu, le changement de dynamique opéré entre le commandant et l'inspecteur en chef jouant pour beaucoup dans ce renouvellement. JP conclut une moitié des intrigues qui ont été ouvertes pour lui cette saison avec, là encore, une avancée intéressante pour le personnage.

Bref, si l'épisode semble vouloir relancer la dynamique autour de son équipe, elle en oublie de soigner un peu ses enquêtes. Cet épisode en est un exemple et c'est dommage. ça se regarde mais c'est un peu ennuyant. Dommage.

Quand tu es lead féminin mais que la disparition de ton personnage est expédié en une ligne de dialogue là où le départ du second rôle féminin est évoqué tout l'épisode, c'est que ton pero ne servait à rien. Donc bye bye Madeliene (et Ruby), remplacée par le retour de.... Florence ! Comme ça, en mode "coucou, je suis de retour". Voilà, Meutres au Paradis à son meilleur.

Plus sérieusement, cet épisode de reprise n'est pas mauvais mais je ne sais pas s'ils ont été coincés par le covid ou non mais on sent quand même des trucs assez bizarres tout du long. On va dire que c'est le covid.

On retrouve donc l'inspecteur Neville Parker, à la limite d'en faire des caisses, sur un meurtre pas hyper complexe et avec l'assassin connu assez vite. L'intérêt de l'épisode repose plus sur al confrontation entre l'inspecteur et le meurtrier, à l'instar d'un Columbo. Ce qui offre de très bons moments

malheureusement pas toujours pleinement exploité.

Autour, JP continue son bout de chemin et reste le personnage qui, depuis quelques saisons, a le plus de développement, dans la continuité de ce que la saison précédente avait lancée (sa femme enceinte). Florenece revient comme une fleur et comme avant. On lui colle bien un peu de réticence avec Néville mais elle reprend la dynamique qu'elle avait avec les autres au bout de 40 minutes : il faut espérer qu'on ne reparte pas trop sur du Florence "Plante Verte".

Côté Neville, bonne idée que de

Bref, un épisode avec des idées pas mauvaises mais qui manque d'exploitation et de concrétisation. Dommage

Ultra classique, pas une once d'originalité, que dalle. C'est de l'automatique dans un épisode qui sent trop le déjà vu tout en essayant de troller sur les affaires précédentes dont il s'inspire. Bref, pas foufou.

Du mieux par rapport au précédent avec une enquête un peu moins linéaire et plus construit : au moins, on ne sait pas dès le départ qui a tué et comment.

Côté JP, ça continue dans le bon sens et Florence a le droit à une scène perso sans l'inspecteur ce qui n'était, je crois, jamais arrivé (ou alors au tout début). Bref, quelques frémissement dans un épisode correct et plaisant