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Avis sur les épisodes
Ces deux épisodes intitulés sobrement « Wine and Roses » et « Carrot and Stick » sont une entrée en matière réussie pour cette ultime saison de Better Call Saul. Le rythme est très pêchu, ce qui est une bonne chose, même si on a l’impression parfois que les scénaristes sont dans une course contre la montre et doivent aller droit au but. Ainsi, il faudra être très attentif pour ne pas rater un élément de l’intrigue ou une référence, surtout quand ils sont amenés implicitement. Pour l’instant, il n’y a pas de thème qui ressort clairement : nous assistons à la suite directe des évènements de la fin de la saison 5. Hâte de voir la suite. Tout cela est très prometteur ! (Plus de détails dans ma critique)
Ces deux épisodes intitulés sobrement « Wine and Roses » et « Carrot and Stick » sont une entrée en matière réussie pour cette ultime saison de Better Call Saul. Le rythme est très pêchu, ce qui est une bonne chose, même si on a l’impression parfois que les scénaristes sont dans une course contre la montre et doivent aller droit au but. Ainsi, il faudra être très attentif pour ne pas rater un élément de l’intrigue ou une référence, surtout quand ils sont amenés implicitement. Pour l’instant, il n’y a pas de thème qui ressort clairement : nous assistons à la suite directe des évènements de la fin de la saison 5. Hâte de voir la suite. Tout cela est très prometteur ! (Plus de détails dans ma critique)
« Rock and Hard Place » est un très bon épisode. Le rythme est soutenu ; l’intrigue avance implacablement. Les scénaristes prennent un grand risque à tuer Nacho aussi tôt (il faut réussir à meubler les 10 épisodes). Il me tarde de voir la suite avec l’espoir de voir les pièces du puzzle commencer à se constituer de manière cohésive. Une chose est sûre : le reste de la saison sera encore « plus sombre » à en croire Gordon Smith…
Il demeure plusieurs inconnues quant à la direction où souhaitent nous mener les scénaristes. Le choix de tuer Nacho aussi tôt pose question. D’un point de vue narratif, il aurait été possible de rallonger son intrigue de quelques épisodes. Il aurait été intéressant de voir Lalo et Nacho interagir une dernière fois, mais les créateurs en ont décidé autrement. Peter Gould avait promis que cette dernière saison serait très imprévisible.
Imprévisible, cette saison l’est. Mais, elle est déroutante à bien des égards. Le fil rouge n’est pas encore clair. Pour le moment, l’intrigue de Jimmy est indépendante de la partie Cartel. De plus, on ne connaît pas encore le détail du plan de Jimmy et Kim. L’heure commence à tourner. Quand la transformation de Jimmy en Saul s’opérera-t-elle ? Quand est-ce que Lalo fera son apparition et viendra faire joujou avec Gus ? Y aura-t-il des épisodes consacrés à la période Breaking Bad ? Les questions s’accumulent et, pour le moment, il est encore trop tôt pour avoir un avis tranché sans avoir vu l’ensemble de la saison. (Critique complète bientôt publiée)
Un très bon épisode qui s’apparente à une forme de parenthèse après le marathon du début de saison. Les scénaristes se concentrent enfin sur l’intrigue de Jimmy et Kim, jouant la carte du mystère. Il n’y a pas de fulgurances scénaristiques à relever. Mais, les pièces du puzzle commencent à se mettre en place avec les mille et une références à Breaking Bad (le bureau de Saul, l’apparition de Spooge qui sombrera dans la drogue et mourra écrasé par un distributeur de billets devant les yeux de Jessie ou encore la prostituée Wendy). Mais là où s’illustre cet épisode, c’est la justesse avec laquelle il dépeint les affres des protagonistes. Howard qui mentionne pour la première fois ses problèmes conjugaux ; Gus qui vit dans la peur ; Kim qui s’insurge quand son mari qualifie leur comportement de « méchant » comme si elle cherchait à se convaincre du bien-fondé de leurs actions. Vite, la suite ! (Plus de détails dans ma critique à paraître)