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Ca y est. Le monde des séries est une nouvelle fois orphelin : Entourage, c'est fini. La vie dure commence.

Une conclusion qui possède l'intensité attendue, malgré quelques ficelles plutôt grosses et un épilogue très discutable.

Eric Judor rencontre une testudophile.

Un épisode un peu moins médiocre qui tente de construire quelque chose, tout en abusant une fois de plus des attaques de zombies.

Une pensée, comme ça, qui me traverse l’esprit à la fin du visionnage de l’épisode : tous les scénaristes sont en train d’adopter le moffato-style. C’est-à-dire qu’on arrive dans un univers très stylisé, avec une très belle réalisation, puis qu’on embraye sur un scénario compliqué à base de voyage temporels et de grands élans sentimentaux (non pas l’animal), majoritairement basé sur le trio. On va dire qu’une telle recette peut donner de bons épisodes à condition de ne pas en abuser. Là c’était limite. J’ai beaucoup aimé, mais tout bien considéré c’était limite. Allez, je vais essayer d'aborder tout ça avec un peu de recul.

Un épisode particulier, difficile à juger cumulant les qualités et les défauts d'une série qui semble au final retrouver l'inspiration.

Un épisode de recentrage dynamique mais qui commet quelques maladresses assez regrettables.

Le season finale de True Blood : il était vraiment grand temps qu'on abrège nos souffrances !

C'est la fin de la saison pour Suits qui nous propose un épisode dynamique dans la prolongation du précédent en s'efforçant de poser des bases solides pour l'avenir.

Un final poignant, d'un réalisme saisissant et qui clôt en beauté cette reconstitution troublante et saisissante.