Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
Lire le résumé complet >
En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
3 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 1.10
Avis favorable | Déposé le 06 décembre 2013 à 19:18 |
Encore un très bon épisode ! C'est vrai que ce "Everybody lives" donnait un vrai sentiment de joie, il y a souvent des dommages collatéraux/morts dans Dr Who même si ça se termine bien... Et comme toujours, Moffat excelle dans l'utilisation d'éléments qui peuvent paraître anodin (ici, les nanorobots) mais qui sont pourtant essentiels au scénario ! PS: C'est scandaleux que ce soit Moffat qui ait introduit Jack Harkness dans l'univers de Dr Who et qu'il ne s'en serve même pas alors qu'il gère maintenant la série ! A quand une saison 5 de Torchwood gérée par Moffat et des épisodes de Dr Who avec l'apparition du Capitaine ?!!! |
Avis favorable | Déposé le 30 novembre 2013 à 16:51 |
On arrive au climax, et pour une fois, sans trop de précipitation ! L'idée que la monstruosité, l'apocalypse soit basée sur un manque, une faille, une blessure. Et qu'il faille la réparer, que ça soit possible, même si, en mon for intérieur, je n'y crois pas toujours, j'ai beaucoup de plaisir à le voir, le temps d'une fiction. |
Avis favorable | Déposé le 23 novembre 2013 à 23:48 |
une très bonne deuxième partie avec plein de tension et d'humour. Tous les personnages sont utilisés à la perfection. |
Avis favorable | Déposé le 13 novembre 2013 à 17:23 |
La confirmation ? The Doctor Dances est un poil moins bon que sa première partie The Empty Child, mais pour autant joue sur un terrain de jeu suffisamment différent pour que je lui accorde la même note. Forcément il y a beaucoup moins d'horror-fantasy dans cet épisode, plus appropriée à l'aspect exposition propre aux premières parties de diptyques. A la place, The Doctor Dances comble le tout par un humour et un ton général extrêmement plaisant, tout en restant brillant. Il y a plein d'exemples à ça et ce, sur plusieurs niveaux : Tout d'abord, la résolution ingénieuse bien qu'absurde du cliffhanger "Go to your room !". Ensuite, toutes les répliques entre Jack, Rose et le Docteur, "Bananas are good". L'épisode joue aussi pas mal avec les codes sociaux de son contexte, entre le mari possédant la maison que Nancy a pénétré qui fricotte avec le boucher, ou bien le soldat ami de Jack Harkness qui en pince pour lui. Le méta commence à apparaître : Rose pose la question "Doctor Who ?", le tournevis du Docteur se fait malmener et chambrer, le Docteur explique pourquoi le climax de l'épisode se termine dans une garde désaffectée pour "raisons budgétaires"... La touche d'humour méta la plus évidente étant la métaphore de la "danse" et le Docteur ne sachant pas danser, subtile représentation du tabou que représente sa vie sexuelle et que la nouvelle série veut briser. Mon dialogue absurde préféré étant cet échange entre le Docteur Constantine et sa patiente, venant d'être soignée par les nanogènes :
Stupide et très "silly" à l'anglaise ! En somme, les dialogues sont excellents, surtout quand ils sont à comprendre au second degré. Cela est moins important dans la série que l'introduction de l'horreur-fantaisie dont s'occupait la première partie, mais cela reste un grand pas tout de même, car on trouve déjà dans ce diptyque des traces d'humour que l'on retrouvera partout par la suite, et c'est aussi un stade où la série est suffisamment confiante pour faire du méta. Ça, c'était pour le petit truc en "plus" de cette histoire, qui lui vaut un 17 de ma part, mais tout comme la première partie, il fallait également que le scénario "bête et méchant" tienne la route. Et vu que The Empty Child livrait une excellente exposition, The Doctor Dances avait la lourde charge de livrer une superbe conclusion. Chose qu'il fait parfaitement. Les solutions des mystères étaient parfaites : cohérentes car les réponses étaient disséminées tout au long du two-parter, et surprenantes à la fois. Le climax de fin est bien sûr devenu en quelque sorte culte, les révélations étant renversantes et très bien amenées concernant Nancy et les bots, et la scène où la mère et le fils sont réunis est belle à en pleurer. L'aspect culminant de l'épisode est bien évidemment le désormais légendaire "Just this once, everybody lives !" parfaitement délivré par Christopher Eccleston. The Doctor Dances est donc une très bonne conclusion à un tout aussi bon two-parter, qui est à la fois la définition même de l'histoire Who classique, "de base", réussie, mais qui sous ses airs innocents représente en fait un grand pas en avant pour Doctor Who. Il faut saluer le fait que ces deux épisodes sont excellents tous les deux mais pour des raisons complètement différentes, ce qui est suffisamment rare pour être souligné. Il ne fait absolument aucun doute, et certains scénaristes des récentes saisons l'ont même confirmé, que ce two-parter fut une source d'inspiration pour de futures histoires, ce qui en dit bien assez sur sa qualité, quand bien même la série fera encore mieux. Je trouve d'ailleurs cette histoire un poil surestimée par la communauté, car il n'est pas rare de la voir dans les top 10 de tout le monde. Mais son impact est indéniable. |
Avis favorable | Déposé le 08 avril 2013 à 20:06 |
Ah ce "Everybody lives" qui reviendra régulièrement, et cette joie du Docteur, j'en ai retenu les mêmes choses que Marino :) |
Avis favorable | Déposé le 24 janvier 2013 à 20:41 |
Deuxième partie d'épisode qui finit bien, il y a eu beaucoup de suspens et c'était très sympa à voir. |
Avis favorable | Déposé le 09 octobre 2012 à 00:59 |
Jubilation. Les moment de Bonheur d'Eccleston, étaient décidément les meilleurs du Docteur. Tennant excelle dans le malheur . Smith dans la cruauté. Mais quand Eccleston était heureux... Une fin qui pourrait être bateau (ce n'est pas si rare qu'"Everybody lives" dans la fiction.) ` Mais, là, devant mon écran d'ordinateur, j'ai presque pleuré de joie. |
Avis favorable | Déposé le 16 juin 2012 à 17:08 |
La deuxième partie de l'épisode me semble meilleur, avec des retournements de situations du suspens et des surprises. |
Seconde partie tout autant excellente, ensemble scénaristique très cohérent, et conclusion franchement satisfaisante.
Que dire de plus ?
(Ah, si. Pourquoi c'est Moffat qui a créé Harkness et que c'est T Davies qui se le soit accaparé ?)