Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Avis sur l'épisode 2.02
Avis favorable | Déposé le 25 septembre 2015 à 23:32 |
Le danger du chat pour ouvrir l’épisode est amusant, mais l’épisode perd un peu de pertinence lorsqu’il sépare artificiellement son groupe. Cela reste dans l’ensemble bien rythmé cela dit. Les miniatures restent le concept fort de ce serial et sont globalement très bien faites. J'adore le concept que même une mouche peuvent devenir un danger mortel, j'adore le fait de se servir des objets du quotidien comme d'un moyen pour progresser (la rouille dans le tuyau, l'évier comme porte-voix, les trombones comme échelle). Les personnages secondaires sont assez intéressants, ce qui démarrait comme le scientifique bête et le manager avare résulte petit à petit en scientifique moralement confus et manager en position de force et de faiblesse à la fois. Le scientifique scrupuleux notamment semble vouloir vraiment résoudre la famine dans le monde, même s’il ne comprend pas bien l’ampleur de ce qu’il a inventé… ou qu’il ferme les yeux dessus. Quand on y pense, cette histoire est vraiment très atypique. Il n'y a quasiment rien de Doctor Who là-dedans. Pas d'alien, pas de contexte spécifique, juste un élément de sci-fi courant (une miniaturisation). Ils sont même, pour la première fois depuis le pilote, bien dans l'Angleterre de 1963, je crois ! Incroyable ! Les scènes avec les personnages secondaires de l'histoire semblent provenir d'un autre show : un insecticide, une autorisation du gouvernement qui tarde à venir, un meurtre qu'on couvre en conséquence... on ne se croirait pas dans Doctor Who et c'est paradoxalement très dépaysant. Ce qui plombe la partie, c’est Barbara qui se tord la cheville puis touche le poison et ne dit rien. C’est frustrant de la voir réduite encore une fois à… ça. Elle s’évanouit ensuite et continue de ne rien dire. Dommage car sa relation avec Ian est toujours sympa, on voit ce dernier méga attachant et protecteur, clairement amoureux. Le cliffhanger avec le lavabo qui s’apprête à être activé, ce qui constitue un danger de mort, est à nouveau une utilisation très sympathique de la miniaturisation. Dans l’ensemble c’est encore un très bon serial. |
Le budget fait que l'épisode est fait de bric et de broc et j'ai eu beaucoup de mal à situer où sont les personnages (sur la table, dans l'évier, à quelle distance les uns des autres, plus ce don de téléportation qu'Ian et évoqué par Galax dans sa critique précédente).
Et l'histoire des deux meurtriers me laissent toujours aussi dubitatif....