Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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| Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
| Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Avis sur l'épisode 2.09
Mmaginère
OmarKhayyam| Avis favorable | Déposé le 27 décembre 2018 à 00:02 |
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Spoiler
L’horreur fasciste surgit dans les rues de Londres, alors Doctor Who parle de survie et de résistance puis explose carrément en révolution sociale jubilatoire dans une histoire absolument épique. (16) |
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nicknackpadiwak| Avis favorable | Déposé le 16 janvier 2018 à 18:18 |
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Il y a un côté Tennant, je trouve, dans la technique de Barbara pour tenter de duper les Daleks qui consiste à improviser un monologue pour détourner leur attention. Même si j'ai pas trop compris pourquoi les Daleks tombent tous en panne d'un coup, j'ai bien aimé le départ de Susan. Parce que déjà bah elle se casse, ce qui n'est pas une mauvaise chose. Puis, il était vraiment réussi, sans chichi et touchant. |
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Galax| Avis favorable | Déposé le 01 octobre 2015 à 21:44 |
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C'est un peu cucul aujourd'hui. Tout le serial a assez mal vieilli. Mais j'y peux rien, si je me projette en 1964 devant mon écran de télévision, et que j'essaye d'imaginer ce que ça fait de voir un scénario final où à la fin le peuple se rebelle contre les Daleks et reconquiert sa planète, ben mon ptit coeur trouve ça émouvant. Même si des humains battant des Daleks à bout de bras c'est n'importe quoi. Et puis surtout. SURTOUT. Il y a le formidable départ de Susan. Un moment où William Hartnell est tellement en forme et possède un si beau discours qu'il est impossible que le jeu de Carol Ann Ford nous gâche l'émotion. La fin est vraiment triste et chargé d'émotions. Beaucoup de départs de compagnons suivront ce même modèle. Dire que ce fut le tout premier, la première marque de changement dans le cast, la première fois que le show a été bouleversé... et il le sera encore des centaines de fois sur les 50 années à venir... 13/20 pour l'histoire entière (12.83 arrondi, merci la dernière partie) One : "One day, I shall come back. Yes, I shall come back. Until then, there must be no regrets, no tears, no anxieties. Just go forward in all your beliefs, and prove to me that I am not mistaken in mine. Goodbye, Susan, goodbye, my dear." <3 |
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Cette partie est sympathique et conclu bien cet épisode.
Mais le départ de Susan.... vous êtes sérieux ? C'est choquant, brutal et monstrueux : qu'elle ait envie de rester là pour des idéaux, ça m'aurait été. Pour faire quelque chose d'elle-même aussi. Mais là, c'est parce qu'elle est tombée amoureuse et que son nouveau mec l'a influencé avec ses beaux discours. Et son grand père, pour lui dire adieu, l'enferme en dehors du Tardis et la laisse tomber ?????!!!! Sans moyen de contact ni rien. Même si le discours va, la façon de faire est juste d'une telle cruauté.
Ok, vous pouvez me dire que son mec a juste appuyé sur ce qu'elle voulait dans le fond. Mais bon, concrètement Susan c'est la nana cruche qui a besoin qu'on lui tienne la main. Qu'un homme lui tienne la main pour être précis. Vous pouvez aussi me dire que le Docteur a dit qu'il reviendrait... Super quand on connait la précision de ces calculs pour voyager... Et en plus, quid de la possibilité pour elle d'un retour sur Gallifrey ? Des régénérations, .... ? Oui, ce sont des fugitifs et des aventuriers, mais là elle est condamnée à ne plus pouvoir choisir ni changer d'avis.
qu'elle ait envie de rester là pour des idéaux, ça m'aurait été. Pour faire quelque chose d'elle-même aussi.
Oui, après faut recontexualiser, cet épisode date du milieu des années 60, on ne peut pas repprocher à la série de ne pas être assez moderne ou féministe.
Puis, c'est peut-être la première, mais ce n'est pas la dernière des compagnones du Docteur qu'il abandonnera comme on se débarasse de son slip troué.
Je sais bien de quand ça date, mais j'ai mon regard critique d'aujourd'hui et je ne peux quand même pas apprécier ça.
Et c'est sa petite fille, pas n'importe quelle compagne. C'est pour ça que je trouve ça aussi choquant.
Je peux comprendre le contexte de l'époque (on parle souvent de ça avec Galax pour plein de séries), mais je ne peux pas apprécier et bien noter une série en faisant abstraction de ce que je pense en tant que femme de mon époque.