Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Avis sur l'épisode 2.39
Avis favorable | Déposé le 22 mars 2021 à 23:25 |
Hartnell et Butterworth se trollent, rient de leur propre rivalité, et livrent chacun une performance charmante, hissant sans effort The Time Meddler au rang de grand épisode. (16) |
Avis favorable | Déposé le 21 décembre 2018 à 09:53 |
Toutes les séquences impliquant des vikings se battant contre des saxons ont été une horreur pour moi, je ne suis jamais jamais rentré dedans. Par contre, le Moine, c'était top. Le fait que sa logique ne soit pas sans sens et loin d'être manichéenne est en plus, surtout lorsqu'on songe au Docteur bien content de laisser des hordes de Vikings envahir l'Angleterre et la mettre à feu et à sang. Tandis que le plan de la tête du Moine dans un Tardis miniature, c'est énorme!! Donc, oui, je confirme, malgré ses défauts, cette aventure de DW est cultissime, car elle commence à mettre la première pièce à un édifice énorme, à savoir la mythologie Whovianne.... |
Avis favorable | Déposé le 05 novembre 2015 à 14:33 |
Après avoir découvert l'histoire, avoir appris qu'il était impossible de la changer, avoir essayé puis échoué, avoir accepté cet état de fait, avoir été alors la cause de celle-ci en voyageant dans le temps, Doctor Who va plus loin dans la réflexion et nous créé maintenant un ennemi qui s'amuse à interférer dans le temps. Sa vision clashe avec celle du Docteur et ce dernier l'arrête, non sans quelques échanges brillants juste avant et une solution ingénieuse. Cet épisode remet en cause beaucoup d'acquis de la série, notamment sur l'existence de plusieurs TARDIS (il avait été largement sous-entendu auparavant que le Docteur avait construit son TARDIS et qu'il était unique dans l'univers). Et même s'il est trop tôt pour la série de parler de Gallifrey ou de Seigneurs du Temps, on comprend la nature du moine. L'ennemi restera dans la mémoire de la série, en plus de ne pas être un simple "méchant sans bonnes intentions" (il est finalement plutôt peu courant que l'ancienne série ne fasse pas preuve de manichéisme alors c'est à souligner). En plus de cela la sauce Vickings prend bien dans cet épisode en particulier et aide à s'attacher à l'histoire. Un très bon épisode pour une histoire qui prouve une nouvelle fois que Doctor Who et l'histoire donne des choses très intéressantes. La saison 2 aura eu des hauts et des bas mais s'achève sur un des meilleurs épisodes de One jusque là. |
Avis favorable | Déposé le 27 avril 2014 à 04:44 |
The Time Meddler s'achève, lui comme la saison 2 d'ailleurs, en apothéose avec une ultime partie au moins aussi géniale, si ce n'est plus, que la 3ème. Dans la pure lignée de cette dernière, elle enrichit encore plus la confrontation entre le Docteur et le Moine, absolument excellente, et s'amuse à entrechoquer les différentes storylines et personnages dans un grand foutoir parfaitement logique qui permet de maintenir un rythme effréné qui sied parfaitement à cette intrigue. Qui plus est, cette ultime partie approfondit quand même beaucoup un aspect de la mythologie de la série pour l'instant relativement peu exploitée, et nous offre un coup de théâtre final avec le sabotage du Docteur absolument génial ! Bref, je n'ai pas grand chose à dire de plus, si ce n'est que cet épisode aura été génial de bout en bout et qu'il clôt la saison sur une très haute note, et est, pour l'instant, un des tout meilleurs de la période Hartnell. ---- Bilan Episode 17 : The Time Meddler Excellent, Grandiose, Génial, Novateur, ... On pourrait faire bien des compliments à cet épisode qui de loin ne paie pas plus de mine que ça mais qui nous réserve bien des surprises, et à plus d'un tour dans son sac. Déjà, en termes purement qualitatifs, à part la statisme scénaristique du personnage du Moine dans la partie 2 (et cela à été justifié par la suite), je n'ai absolument rien à reprocher à l'épisode. Et pour cause, il est limite parfait sur tous les plans : des acteurs en super forme (William Hartnell se lâche purement et simplement, et c'est peu dire que c'est juste un vrai plaisir, Vicky et Steven ne sont pas en reste, et Le Moine est priceless), une intrigue parfaitement traitée, scénarisée et développée, toujours intéressante à suivre et qui comporte pleins d'idées et de rebondissements bienvenus, une réalisation globalement plus soignée que d'habitude, un rythme parfaitement géré (c'est assez rare pour le signaler : il n'y a pas le moindre temps mort, et pas une scène de trop ou à l'utilité douteuse), et ponctué d'un humour dosé comme il faut qui fait toujours mouche ... Bref, un pur bonheur quoi. Mais là ou l'épisode fait encore plus fort, c'est dans son aspect novateur et dans l'importance qu'il va avoir mine de rien pour la suite de la série. Car c'est en effet le premier épisode à mélanger les deux grands genres du show, l'historique et la science fiction. Un mélange qui ici est géré à la perfection et donne un résultat épatant. Et si c'était rarement fait à ses débuts de procéder à de tels mélanges, ça va finir par devenir la marque de fabrique de la série (la nouvelle série n'a d'ailleurs à ce jour jamais proposé d'épisodes purement historiques, sans qu'il n'y ai un strict minimum de science fiction incorporé là dedans). De même, l'épisode est aussi fondateur de la mythologie Doctor Who sur beaucoup de points : c'est aussi le premier épisode à mettre en scène un autre Time Lord, un autre TARDIS, à développer vraiment le background de cette machine qui n'est donc pas unique, tout comme son propriétaire (on avait certes déjà eu mention de l'existence du peuple du Docteur, mais jamais on avait croisé un de ses ressortissants), et que des voyageurs renégats comme le Docteur existe, et pas forcément avec des intentions aussi droites que les siennes (donc oui, en fait, c'est aussi cet épisode qui crée une des races d'ennemis les plus intéressantes du Docteur : son propre peuple, les Time Lords. Avant même que le nom de l'espèce ni même celui de Gallifrey ne soit inventé ...) Clôturant de la plus belle des manière cette importante et belle saison qui aura eu son lot de surprises, The Time Meddler, au delà d'être un excellent épisode (peut être bien le meilleur depuis The Aztecs. Peut être bien le meilleur de la saison ...), est un épisode à l'importance indéniable dans la série. Une de ces petites perles que la série se plait à nous offrir de temps à autres, qui sont de purs bonheurs à suivre ... Note de l'épisode (Moyenne des parties) = 16,25/20 Sur ce, disons adieu à la saison 2, et bonjour à la saison diapo ... pardon, saison 3. Pour le coup, j'espère presque que cette dernière n'aura pas d'épisode de ce niveau. Parce que vu le nombre de lost episodes qu'elle contient, si c'est le cas, ça va être très triste de ce les farcir en recon ... |
C'était sympa, mais le final est particulièrement anti-climatique : "Bon ben, j'ai fait une lettre, allez kiss". Mouais.
Je m'attendais à un truc beaucoup plus intéressant. On rejoint ici le lieu commun de toutes les histoires temporelles qui font souvent affronter un régulateur du temps contre un perturbateur. Dommage, de fait, que l'explication finale du Moine soit aussi creuse ("Je voulais perturber l'Histoire parce que c'est rigolo") et que le personnage ne soit revenu qu'une seule fois plus tard.