Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Avis sur l'épisode 2.04
Avis favorable | Déposé le 29 septembre 2015 à 01:09 |
Le moins qu'on puisse dire c'est que le retour des Daleks a su se faire attendre et a su soigner son entrée, non ? Première fois dans toute la série qu'on montre enfin une Terre dans un futur assez lointain (le 22ème siècle, 200 ans après pour l'époque), et la production pouvant enfin se dérouler dans d'autres lieux que des studios, on ressent bien le sentiment malsain de ville morte. Du panneau "Do not dump bodies in the river" à l'écroulement du pont, Londres est méconnaissable et un sentiment malsain s'installe. L'épisode est, comme souvent dans les classics, d'abord constitué de notre groupe qui explore les alentours, ce qui donne lieu à la meilleure partie de l'épisode. L'introduction d'autres membres du cast se fait plus tardivement et fait un peu basculer la série dans le film post-apocalyptique de base. Bref le soufflé retombe un peu, au moins jusqu'au cliffhanger qui révèle bien sûr l'inclusion des ennemis d'anthologie de la série et qui tout d'un coup donne bien plus envie de voir la suite... "I eat." Ahah Susan. |
Forcément jouer le suspense sur la nature de l'ennemi, alors que leurs noms est présent dès le génériques, ça casse un peu le truc.
Alors on attend impatiemment que l'épisode se termine, qu'ils arrêtent de parler ou marcher dans des décors vides. On attend une nouvelle fois la raison qui les empêche de partir (l'éboulement devant le Tardis) et la raison pour séparer le groupe (cette sotte de Susan et sa cheville).
Donc tout ça est bien long.
Mais la sortie du dalek de l'eau, tout kitsch qu'elle est, fait son effet.