Un final terrifiant et épique, avec des Cybermen fantomatiques qui envahissent les cimetières, et Clara désespérée et surtout incapable de dire je t’aime.

Bien aimer ce final meme si c'était un peu étrange et fouillit;

L'armée, le master, Danny, Gallifrey... J'ai eu un peu de mal mais l'émotion était là et je suis impatiente de voir la suite, meme si je suis un peu sceptique.

Mon final préféré, excellent épisode avec un très bon antagoniste. N'aimant pas Danny je suis bien contente qu'il soit mort.

J'viens d'me refaire ce final et un autre final avec le Maitre dedans, Last of the Timelord, et c'est fou comme celui-ci est bien mieux que le final de la saison 3.

Toutes les thématiques entamées sont bouclées, ainsi que tous les arcs, Moffat a eu d'excellentes idées (bien qu'un peu tirées par les cheveux, mais bon, c'est Doctor Who en même temps) et a rendu leurs lettres de noblesses aux Cybermens, auparavant bien ridicules dans le reboot, a superbement introduit le Maitre avec une Michelle Gomez génialement terrifiante (elle a du faire flipper pas mal de gosses) et une excellente fin, douce amère, qui va amener vers la conclusion définitive de la relation Clara-Docteur (qui aura lieu dans le noel.)

Entre temps, on a des références à foison et une résolution critiquable mais cohérente, avec un Danny qui parvient enfin à toucher.

C'est quand même dommage, Moffat a été super maladroit avec ce personnage cette saison, servant uniquement à mourir dans ce final. Mais bon, ça restait brillamment exécuté. (Et ça s'éloigne du putain de love power sans raison attribué aux Cybermens d'habitude)

Changement d'ambiance par rapport aux autres finaux aussi.

Fini les seasons finales bourrés d'effets spéciaux et d'action à laDavies (et on évite le déluge d'effets spéciaux avec presque rien derrière à la Last of the Timelord, et c'est tant mieux) et les timey wimeys survoltés de l'ère Smith, ici, on a un épisode sombre et extrêmement triste, où tous nos personnages perdent quelque chose de significatif.

Bref c'était un beau final.

Mention spéciale à la magnifique apparition du Cyberbrig, concluant aussi la thématique sur les soldats et fermant définitivement la porte à ce personnage d'anthologie.

C'est dommage que Moffat soit parfois si maladroit dans son exécution, notamment au niveau de la résolution, du plan du Master ou quelques diverses scènes. Tout aurait été plus clair, ce final serait un vrai chef d'oeuvre.