Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Avis sur l'épisode 20.17
Avis favorable | Déposé le 13 janvier 2019 à 18:19 |
Cet avis ne sert qu'à justifier une note inférieure à 10 ou égale ou supérieure à 16. Avis général sur l'épisode ... |
C’est un bon début de sérial, autant dans l’ambiance extrêmement réussie de vaisseau fantôme qui n’a aucun sens et qui regorge de secrets à exploiter, que dans la gestion du fil rouge et des personnages avec le White Guardian qui fait son grand retour, et annonce son message cryptique. On sent qu’on arrive (enfin) au climax de l’affrontement entre White Guardian, Black Guardian, Docteur et Turlough.
Le passage avec les matelots est assez surréel et on sent vite qu’on a affaire à un scénario original. Le cliffhanger très bon et plutôt inattendu quand on ne connaît pas l’histoire, est aussi très saisissant et imprévisible. Il donne furieusement envie de savoir ce qui se trame derrière cette course organisée par les gardiens… et en même temps, je n’ai pas envie d’en savoir trop.
Pas grand-chose à dire, le rythme n’est pas parfait (le passage avec les matelots est un peu long, et à nouveau on a la trope des compagnons séparés qui se réunissent tout de suite après). Et surtout, le Docteur n’est pas parfait : Davison, j’en ai bientôt vu les deux-tiers, j’avoue en avoir déjà marre.
Mais c’est une écriture solide portée par une réalisation solide. Pas grand-chose à ajouter, c’est un combo suffisant. A noter qu’il s’agit du premier épisode de l’histoire à être à la fois réalisé et écrit par des femmes, en l’occurrence ici Fiona Cumming derrière la caméra (et franchement très douée pour les épisodes au décours chelous, de Castrovalva à Snakedance) et Barbara Clegg à la plume, que je ne connais pas encore.