Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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Du mieux. Passée l’introduction trop lambda, la noirceur de l’histoire ressort bien. Il est question de déserteurs qu’on exécute, d’une population à contrôler problématique et de dirigeants pleins de secrets. Un cadre idéal pour que la râlerie de Tegan excelle : c’est en comparant Logopolis à un sweatshop qu’elle m’avait impressionné dans sa première histoire, et ici elle est toujours super cool.
Le coup du porte-manteau, franchement mdr, mais why not ? C’est complètement con et en même temps c’est assumé et je préfère toujours ça à une non-résolution de cliffhanger ou à un gadget scientifique deus-ex.
Il y a beaucoup de similitudes avec The Hungry Earth, le dyptique de Chris Chibnall de la saison 5 de New Who, avec ces mots “hungry earth” prononcés justement et le concept de personnes disparaissant sous Terre. A nouveau, il n’est pas dur de voir de quelle ère Chiboss était fan dans son enfance et à quel point ça l’a influencé, de ses premiers épisodes à ses saisons Jodie.
Globalement il y a quand même une ambiance cool à base de mystères autour de la “génération précédente” de colons, un truc assez stylé utilisé dans pas mal d’histoires futuristes avec des humains (Full Circle, The Doctor’s Daughter…). L’intrigue a réussi ce que peu de classiques parviennent à faire : m’intéresser alors que la première partie était “peine perdue”. Le coup des corps qui disparaissent, notamment.
Après, il y a toujours pas mal de truc un peu bof, le gain de confiance très pratique des membres de la base par exemple. Quoique le personnage de la scientifique Norna est quand même assez cool, elle est courageuse et forme donc un bon duo avec Turlough qui est par nature peureuse.
Les grosses bêbêtes “Tractators” ou Tractateurs, sont certes super pourries sur le papier, en carton dégueu style The Web Planet. MAIS. Leur apparition est bien gérée. Ce qui change tout. Elles sont éclairées dans la pénombre et si bien camouflée que même le spectateur ne les voit pas. Tout l’épisode est d’ailleurs bien éclairé, avec notamment cette bonne idée de lampe à néon verte portative pour accompagner les persos dans les cavernes.
Les cavernes… tout le monde y pénètre d’ici la fin de l’épisode, ce qui laisse présager une partie trois chiante, espérons que le sérial sache rebondir malgré cela. Il semble tout de même bien garder ses ressources pour le moment.