Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
Lire le résumé complet >
Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
0 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 3.07
Avis favorable | Déposé le 11 janvier 2016 à 13:04 |
The Myth Makers s'envole complètement et devient barrée ! Cassandra : "She will bring nothing but doom, death and disaster !" Tous les personnages agissent de manière aussi grotesque, le roi crédule dans le déni total pour des situations très drôles, la prophètesse complètement over-the-top, mais mon préféré va à Odysseus, le chef d'une armée grecque qui est constamment blazé, dans l'ironie mais qui reste ferme et se prend très au sérieux : Odysseus : "When we enter Troy, I can't stop every woman and ask her if she's a friend of yours. It wouldn't be practical." Dommage que ce soit un retcon car j'aurais adoré voir la façon dont les acteurs jouent, les captures d'écran laissent imaginer des mimiques épiques et leurs voix sont déjà super. Là où the Myth Makers réussit vraiment son coup c'est dans l'histoire. Dès qu'on comprend que toute l'histoire est la formation du mythe mon intérêt pour l'histoire a décollé. Le TARDIS qui devient en quelque sorte le cheval de Troies c'est GENIAL. Il y a d'autres choses très intéressantes entourant le fait que ce soit l'arrivée du Docteur et de ses compagnons qui ait entraîné le mythe de la ville de Troies. Par exemple, Vicki qui est nommée Cressida, ce n'est pas par hasard. Ben voilà qui me fait donner envie d'aller voir sur Google. Pari réussi pour l'aspect "teaching" de cet historical. Après quelques recherches, j'ai vu qu'elle tombe amoureuse d'un troyen, le fils du roi mentionné dans l'histoire (elle dit même qu'il est plutôt beau) mais qu'elle le trompera avec un soldat grec du nom de Diomède... ce qui est le nom que prend Steven ?! WTF ! Le défaut de cette histoire, qui ne fait mettre que 14, c'est que le retcon rend difficile la compréhension de tout le scénario. Je ne perçois pas bien le rôle du cyclope, le mec qu'on voit toujours dans le background, et j'ai du mal à retenir tous les prénoms. Même reconnaitre Steven dans la (fantastiquement ridicule) bataille à la fin était difficile... encore une autre raison de regretter que ce soit un épisode perdu... De plus, quand Vcki parle au roi de la légende comme d'un vague mythe dans le futur qui est célèbre pour un gimmick, c'est génial car c'est exactement ce que je me disais au début. C'est d'ailleurs la preuve qu'un compagnon du futur ne rime pas avec la perte de l'identification du public, au contraire puisque moi qui n'avait que très peu d'infos sur cette histoire Vicki est pour le coup dans ce cas idéale. Bref, après la première partie prometteuse mais un peu molle l'histoire pouvait aller dans les deux sens et je suis ravi de voir qu'elle a pris la voie du succès ! |
Avis favorable | Déposé le 14 mai 2014 à 03:39 |
The Myth Makers poursuit sur son excellente lancée avec une deuxième partie meilleure encore que la 1ère ! Elle est dans la pure lignée de cette dernière. Cette fois ci, après les Grecs, c'est au tour des héros Troyens d'être présentés, et c'est tout autant sinon plus hilarant que lorsqu'on était chez les Grecs (en particulier Pâris qui est juste priceless, mais on notera aussi une Cassandre survoltée qui fait toujours de vraies prédictions mais que personne n'écoute jamais). J'aime beaucoup le subterfuge de Vicky, j'ai d'ailleurs toujours aimé le côté réactif et réfléchi de cette compagne du Docteur. J'aime aussi beaucoup la maladresse relative de Steven en Diomède (son combat avec Pâris est anthologique) et le Docteur en train de réaliser lentement mais surement qu'il sera l'inventeur du Cheval de Troie, mais qu'il n'ose pas proposer de peur d'altérer le futur car il croit, comme le mythe l'a toujours dit, que l'idée viens d'Ulysse. Ce genre de délires au sein d'un épisode s'amusant à transformer le mythique en banalités sont absolument géniaux, j'adore. L'écriture de cet épisode est absolument divine, méticuleusement bien pensée et d'une finesse et audace assez incroyable pour son époque. Le tout, servi par des vannes et des dialogues absolument divins. Un pur régal ! Cette deuxième partie tire aussi son épingle du jeu en développant l'intrigue de manière intéressante. Ulysse est maintenant au courant de tout et compte bien tirer autant que possible profit de la situation. La balance des pouvoirs qui se met en place entre les personnages, quand bien même elle est traité sur un ton absurde, est elle aussi finement traitée, et le tout peut vaciller en un rien de temps, comme le montre si bien la fin de cette partie. Et le fait que le mythe ne soit pas suivi de manière stricte et que les caractères des personnages ne soit pas ceux que nous connaissons habituellement quand cette histoire est racontée crée quelques situations de surprise très bienvenue. Bref, cette deuxième partie semble définitivement confirmer le génie de l'épisode et nous promettre bien plus encore pour la suite des réjouissances. |
Idem ici, je n'arrive pas à m'intégrer à cette partie non plus. Je connais bien la guerre de Troie et ce qui l'accompagne, mais la reconstitution me gâche pas mal le visionnage... la saison va être longue.